EAU: SOURCE DE VIE!

Boire ou déboire

Le jour où j’ai vu cette image dans Marie CLaire, je l’ai tournée dans tous les sens (sans raison d’ailleurs). Elle me renvoie l’image de ces deux enfants à genoux comme pour une prière, le visage presque dans la terre ou dans l’herbe c’est selon. Ma fille a eu la même réaction que moi.

Sa question fût: « Mais à quoi ils jouent? ».

« Mais non, ils ne sont pas en train de jouer! je lui réponds »

« mais alors que font-ils? »

« Ils sont en train de boire »

Lorsque je lui ai expliqué la situation et que j’ai voulu savoir ce qu’elle en pensait, elle a dit:

« c’est mieux que rien, au moins ils ont une paille pour boire » 

 » je ne suis pas d’accord, on ne peut pas se contenter de l’à peu près. C’est dégradant. Si quelqu’un propose une solution, il doit choisir la meilleure possible. »

Et ma Coralie de réitérer:

« Mais comment faisaient ils avant? »

« avant, il buvaient sans filtre, au risque d’attraper le ver de guinée, la fièvre thyphoide, le choléra…, mais quelqu’un est venu et a dit je peux vous aider à éradiquer ces maladies » Cette personne C’est le Président Jimmy Carter, Il a crée une fondation pour aider les pays de l’afrique de l’ouest…

A ceux qui ne savent pas, on peut emporter ces filtres partout et boire sans crainte d’infection. Mais a-t-on pensé à les adapter au mode de vie de ces gens là?

Ces pailles peuvent vous sauver d’une infection de ver, surtout du ver de guinée. Maladie extrêmement endicapante, parfois mortelle en afrique de l’ouest. Cette maladie est devenue le projet humanitaire « phare » de l’ancien Président Jimmy Carter.

Il a été le premier à s’intéresser au sort des africains de l’ouest, menacés par cette terrible maladie qui se transmet par l’eau.

Tous les moyens ont été mis en oeuvre pour éradiquer ce fléau. Mais est-ce vraiment tout?

Quand on sait que des filtres il y en a eu dans les années 70: celui que j’avais chez moi était un récipient avec deux ciphons à l’intérieur qui nous procurait 6 litres d’eau potable pour la journée (voire croquis ci dessous.

Nous ne remercierons jamais assez notre Cher Président de s’être intéressé à nous; cependant, il pourrait mieux faire et toutes ces stars que nous adulons en afrique, s’ils s’intéressaient un tant soit peu au sort de ces fans potentiels qui font leur gloire, ils soutiendraient la Fondation Carter pour proposer mieux que la paille filtre, je veux dire  mieux que cette paille de moindre coût que vous voyez là. Rien à voir avec ceci ou mieux celle là, ou encore la pompe filtre

Nous vous sommes reconnaissants de vouloir nous aider, nous sauvez, mais de grâce, sauvez nous dans la dignité!!!

Points de suture ou tranquilité??

Tout est dans l’art de formuler!!

 

Un blanchisseur ou disons gérant de pressing prend le linge de Jimmy Danger. Qui est Jimmy Danger? c’est le roi des voyous, chef d’un gang très connu de la place. Il ne craint rien ni personne. Jimmy Danger confie donc son linge à faire nettoyer. Le blanchisseur se dépèche de s’en occuper afin de ne pas le contrarier. Il attend que Jimmy passe récupérer son linge; des semaines passent, puis des mois, Jimmy passe devant chez lui tous les jours mais ne s’arrête pas. Excédé, le blanchisseur le hèle un jour sans prendre de gangs:

« hé toi là, oui toi Jimmy, ça fait des mois que ton linge est ici, et tu m’ignores quand tu passes devant chez moi… »

« tu parles à qui là? à moi Jimmy Danger? Pour qui te prends-tu? Tu ne me connais pas ou quoi? »

« Je te connais trop bien bien même, je dis que tu es un voleur, un voyou, le roi des escrocs. Tu me dois de l’argent pour ton linge que j’ai nettoyé. »

Jimmy n’en revient pas. Lui si respecté et si adulé, ridiculisé par un blanchisseur!!

« ne bouge pas j’arrive »

« Arrive, on va voir ce que tu peux me faire »

« Jimmy fonce sur le blanchisseur et le roue de coups. Il en profite pour emporter son linge. Le blanchisseur est en train de gémir au sol lorsque son ami arrive »

« Mais, que fais-tu au sol? »

Lorsqu’il réalise l’état dans lequel se trouve son ami, il l’emmène à l’hôpital. Résultat: quatre points de surture et la tête comme qui dirait façonnée à nouveau par notre ami Jimmy Danger.

Le médécin leur remet un certificat médical. Les voilà qui reviennent au quartier. Le blanchisseur toujours gémisssant et son ami qui ne décolère pas. Tous deux se rendent chez la soeur de Jimmy. Ce dernier est absent, son père est là.

Sans lui laisser le temps de comprendre ce qui se passe, l’ami du blanchisseur se met à vociférer, à l’injurier.

« Vous là, vous feriez mieux de retenir votre animal de fils chez vous, de mieux l’éduquer, à cause de lui, les habitants du quartier ne se sentent pas en sécurité. Tenez, regardez ce qu’il a fait à mon ami; nous revenons de l’hôpital avec un certificat médical. Voilà  » et il jette le certificat à la tête du papa.

La tension monte, le vieux père de Jimmy, très coléreux lui même, se redresse:

« Mais attendez, Je ne savais pas que ma fille avait adopté un animal sauvage, vous parlez à qui là, c’est à moi que vous vous adressez? Vous êtes chez moi ici, et je ne permets pas que vous veniez à mon domicile pour m’insulter. Partez ou je m’occupe de vous. »

Notre ami blanchisseur, désormais très prudent, se sert de son ami comme rempart. Il est presque à la porte. Malheureusement pour lui, le père de Jimmy avait ordonné à la bonne de vérouiller la porte et de lui remettre la clé.

Il a fait passer un mauvais quart d’heures à l’ami avant de les mettre dehors.

« et que je ne vous revois pas chez moi. »

Maintenant nous n’avons pas qu’un seul blanchisseur qui gémit mais deux amis avec des points de suture, gémissant, assis la tête de l’un contre celle de l’autre, comme deux frères siamois.

Arrive un client. Surpris de les voir ainsi il s’exclame:

« Vous exagérez, même si on parle de tendance, il ne faut tout de même pas dépasser les bornes. Vous vous faites des points de suture, vous avez des bosses au visage, et vous gémissez en choeur… , bon si ça vous plait d’être ainsi… Je ramène mon linge à nettoyer. »

Le blanchisseur est très attentif. Ce n’est pas le moment de perdre un client.

L’autre lui déplie son pantalon et lui conseille de faire très attention à ne pas mettre de faux plis.

« La dernirère fois, vous m’avez mis de faux plis, ce n’est pas beau du tout, alors appliquez vous pour cette fois et gare à vous. Si vous me faites un faux pli, je vous casse la tête. »

Le blanchisseur jette un regard à son ami. Très vite il trouve une parade pour échapper au risque de se faire défigurer encore une fois. Des clients comme Jimmy, il n’en veut plus.

Alors très calmement il s’applique à donner ses tarifs qu’il a gonflés au passage et qu’il justifie par A +B.

« Mon ami, le pantalon, c’est 500 francs parce que le tissus est épais, la chemise, trop fragile et délicate, c’est 450, le boubous… »

Le client très mécontent des prix ramasse son linge

 » ça va, j’irai voir ailleurs. C’est trop cher chez toi, j’ai toujours trouvé que c’était trop cher chez toi, ma femme n’a pas voulu m’écouter mais là c’est trop. Je ne reviendrai plus jamais ici. »

Puis il s’en va avec son linge.

« ouf soupire le blanchisseur, je suis sauvé! »

Un Jimmy Danger c’est déjà trop, faut pas chercher palabre où il n’y en a pas!!!

Jimmy Choo

Qui est Jimmy Choo?

 

Vous avez d’un coté le cordonnier malaisien installé dans un petit atelier ouvrier de l’est de londres. Dans les années 90,  il se fait repéré par la princesse Diana, pour laquelle il façonne des  chaussures de soirée sur mesure. L’homme est un génie naturel.

De l’autre coté, Tamara Mellon, la jeune responsable des accessoires de l’édition britannique de Vogue. Elle lui rend souvent visite pour ses pages modes.

Tamara mellon forme un tandem avec Jimmy choo, chausseur du East end qui fabrique des escarpins extraordinaires pour Lady Diana. L’aventure commence en 1996 : Tamara, dont l’intuition commerciale est infaillible, apporte les idées, Jimmy Choo, le savoir faire.

Les escarpins sophistiqués sont plébiscités par les stars hollywoodiennes : en 2001, elle se sépare de Jimmy choo pour faire cavalier avec pour objectif de faire de Jimmy Choo une marque de luxe globale.

En dix ans seulement, Jimmy choo s’est fait un nom dans l’univers très fermé des chaussures de luxe.

« Où sont mes Choos ?, « tu as vendu ton âme le jour où tu as mis ta première paire de Jimmy Choo » Sex and The City et Le diable s’habille en Prada.

 

Jimmy choo est devenu une marque légendaire.

« Acheter une paire de Jimmy Choo est un acte émotionnel »

Jimmy choo c’est aussi des sacs, des lunettes et bientôt un parfum.

  

Ëtes vous prêtes à « vendre votre âme » pour un de ces « bijoux »?

 

Le roi ou la reine du mensonge?

Un menteur cocu ou une femme adultère menteuse?

 

Un peu d’humour pour le week end. Inspirée d’une histoire de Gbich, mon journal préféré.

Vous avez vu la vérité si je mens n’est ce pas? Non? Ce n’est pas grave; faisons comme si vous l’aviez vu ou alors, regardez .

Nous croyons tous detenir la vérité, même si elle n’est pas celle des autres. Monsieur GOHOU, ainsi j’appelle mon personnage, Monsieur Gohou a entendu des rumeurs dans le quartier où il réside avec sa femme, les voisins jasent, la famille chuchote ou parle à demi mots. La femme aurait un amant. Pour en avoir le coeur net et mettre fin aux rumeurs, Gohou interroge sa femme. Celle-ci offusquée monte sur ses grands chevaux.

Comment oses-tu? Tu es malade, il faut te faire soigner mon Gohou!

Ah pardon ohhh, c’est ce que j’ai entendu, on dit que tu me trompes

Ah oui, donc si on dit que je te trompe, toi aussi tu crois à ça?

Ah ma chère, je ne sais pas, je ne fais que demander, rien de plus.

 Je ne t’ai jamais trompé. Je le jure sur la tête de ma mère.

Ah ça là Gohou, tu m’as blessée, tu me déçois beaucoup.

Pardon ma chérie ce sont les gens qui me mettent plein d’idées la tête. Oublions ça.

Heureusement, sinon je serais très en colère.

Le calme est revenu dans la maison. Mais Gohou se retient de dire à sa femme qu’il continue d’avoir des doutes. Pour en avoir le coeur net, un matin il se lève le premier, se prepare pour un prétendu voyage d’affaire. Après des étreintes fiévreuses à sa femme, il sort de chez lui, va réserver une chambre dans l’hôtel en face de chez eux et guette.

Antou ne perd pas de temps. A peine son mari parti, elle se jette sur son cellulaire pour prévenir Kouamé son amant.

Il est parti en mission, la voie est libre, on va faire le show

Attends moi, j’arrive tout de suite.

Une heure plus tard, Voilà kouamé qui débarque.

Oh mon chéri, la maison est à nous. Il est parti en mission, nous avons tout le week end.

Gohou, de la terrasse de l’hôtel attend le moment propice pour revenir chez lui.

Lorsque les amants ont atteint le point de non retour, on frappe à la porte de la chambre. Kouamé n’a pas le temps de se cacher.

Pris la main dans le sac, encore faut il le prouver (une de mes amies me disait dans le temps: une main dans le sac n’est rien d’autre qu’une main. Il faut prouver qu’elle est bien celle que l’on croit sinon, l’accusation est nulle). Bref, donc Madame Gohou et Kouamé sont pris la main dans le sac.

Gohou s’écrit:

Eh ma chéri, c’est ce que tu fais, tu n’es qu’une menteuse, tu n’as pas dit que tu ne me trompais pas?

Sa femme, décidée à tirer la situation à son avantage, réplique:

Et toi, tu n’es pas menteur toi aussi, tu ne m’avais pas dit que tu partais en mission et que tu ne rentrais pas ce soir.

Qui des deux est le plus menteur??? La femme ou le mari?

Jérôme Dreyfuss

Franky, billy, diego, Raoul, réné, Robert, Enzo…..rassurez vous, je ne suis pas en train de tromper mon homme. Je parle des sacs, ceux de Jérôme Dreyfuss.

 

 

          

 

Il y en a plus d’une qui paieraient cher pour les caresser, les toucher, les posséder (pas moi, pour le moment, je me contente d’une infidélité virtuelle).

 

Jérôme Dreyfuss les a voulus souples, résistants, évolutifs, équitables.

 

Avant de devenir celui qui fera de nous des fashion addicts infidèles, il s’est fait connaître en tant que styliste, puis en 2003, il s’est lancé dans la création d’accessoires.

 

Billy, le numéro un de nos amours, a connu un vif succès, il est devenu le It bag de toutes les fashionistas.

 

Les sacs de Jérôme Dreyfuss se veulent intelligents, solides, adaptables, doux et écologiques.

 

Pour satisfaire les désirs inavoués des femmes il a su rajouter à certains des poches, même  un miroir bien placé, et il parle même d’éclairer le fond de nos sacs maintenant.

 

Superbe pour une willykean qui est constamment en pleine fouille archéologique dans « sa maison à porter », je parle de mon sac bien sûr.

 

Ses sacs sont pratiquement tous transformables: Franky passe du cabas au sac à main en un clin d’œil, j’adore  j’adore !!!

 

« C’est la praticité qui fait l’esthétisme ». C’est Jérôme qui l’a dit!

Et la qualité des peaux qu’il utilise est primordiale. Jérôme a encore dit : « il faut que son aspect se rapproche plus de la cuisse de ma femme que de celle de ma grand-mère ».

 

Douce mais pas trop, fine mais pas trop, grasse mais pas trop.

 

Tout est fait à la main par des artisans triés sur le volet pour leur savoir-faire.

 

Chaque sac demande en moyenne dix heures de travail et passe entre les mains de six intervenants.

 

Boris, josé, paul, diego, je continue?

 

 

Je vous jure, je sens que je vais être infidèle, mais patience, Il faut que je remplisse ma tirelire…

 

Mais vous, si vous voulez succomber maintenant, rendez vous au 1 rue Jacob à Saint Germain des Prés.

Coeur de feu, mon enfance assassinée par Senait Mehari

Le roman d’un ex enfant soldat.

La guerre fait des ravages. Elle bouleverse vos vies, elle transforme des humains en machine de guerre, prête à tout détruire sur leur passage. La guerre n’a pas de visage, elle est à la fois violente et sournoise, douloureuse.

En temps de guerre, c’est la loi de la jungle qui prévaut: vivre ou mourir, peut être vivre à tout prix. Et pour rester en vie certains, surtout des enfants sont prêts à s’enroler dans les milices, à d’autres par contre on ne laisse pas le choix.

Senait Mehari est de ceux là.

Abandonnée par sa mère désormais inapte à jouer son rôle de mère protectrice, Senait passe les premières années de sa vie dans un orphelinat, puis finit dans une unité de rebelles. Elle a connu  toutes sortes de corvées: enterrer les corps des combattants (enfants pour la plupart, comme elle), porter les kalachnikov presqu’aussi grands et plus lourds qu’elle. Moments de détresse insoutenable sans parler des viols répétés des soldats. Elle y a survécu. Puis un jour, son oncle déguisé en bedouin est venu l’extraire de l’unité et elle a pu enfin rejoindre son père exilé en allemagne, à Hamburg. Là elle rencontre l’amour.

Sa passion pour la musique l’a entrainée dans une girls band, avant qu’elle ne décide de voler de ses propres ailes. Aujourd’hui Senait est une star de la chanson en allemagne et le livre qui retrace son parcours d’enfant soldat est un bijou: poignant et très instructif, surtout pour nos petits chérubins, qui se lamentent dès qu’ils ont un bouton mal placé….

L’histoite de cette enfant est retracée dans COEUR DE FEU

En voici l’extrait:

Extrait du livre :
L’enfant de la malle

Lorsque je sortis pour la première fois de la maison de mes grands-parents, une bande de gamins du voisinage passa devant moi dans la ruelle poussiéreuse en criant :


– Senait, l’enfant de la malle ! L’enfant de la malle est arrivé !
Leurs hurlements rauques m’effarouchèrent, mais ils ne savaient pas plus que moi ce que signifiait «l’enfant de la malle». Ils ne faisaient que répéter ce qu’ils avaient saisi au vol dans les conversations des adultes. Ce n’est que bien plus tard que je sus pourquoi ils m’avaient appelée ainsi.

Mes parents s’étaient séparés avant ma naissance et mon père ne voulait plus entendre parler de moi. Sans argent et avec un enfant sur les bras, ma mère sombra dans le désespoir. Adhanet, c’était son nom, venait d’arriver à Asmara. Sa famille venait d’Addis-Abéba, en Ethiopie ; celle de mon père d’Adi Keyh, une petite ville des hauts plateaux de l’Erythrée. Ces deux peuples se faisant la guerre depuis plus de quinze ans, on peut aisément comprendre que cette situation n’était pas facile à vivre : un enfant né de cette alliance jetait la honte sur ses parents.

Mon arrivée était donc, pour différentes raisons, bien peu souhaitée. Aussi, quelques semaines après ma naissance, ma mère prit la décision de se débarrasser de moi. Toutefois, elle n’osa pas me supprimer et choisit un compromis entre l’infanticide et l’abandon : laisser le destin décider de mon sort.

 

Bob Marley, messager de la paix!

On dit que la foi peut soulever des montagnes, ici, il s’agit de la musique qui balaie les frontières pour unifier les peuples.
Bob est mort, mais bob est vivant, vivant parce que son oeuvre musicale  est là, conservatrice de sa philosophie. La mélodie continue de ronronner dans nos têtes et certains de ses enseignements nous suivrons….
Bob Marley a fait ce que certains émissaires auraient fait. Eviter encore des affrontements lilliputiens. Il a réussit ce que des politiques auraient peiné à accomplir. Une façon idéaliste peut être de voir les choses mais pour une fois, notre prophète du reggae a mis d’accord un peuple.
N’est ce pas la preuve que la musique adoucit les moeurs?
La statue de Bob Marley vient  d’être inaugurée dans le village de Banatsi Sokolac en Serbie ( j’ai beau cherché, je n’ai pas encore trouvé; si quelqu’un parmi vous peut me situer ce village, je lui en serais reconnaissante).
Afin d’éviter encore des conflits lilliputiens au sein de leur communauté, les habitants de ce village ont eu la sagesse de choisir l’icône jamaicaine en honneur aux messages de paix et d’harmonie évoqués dans les paroles de ses chansons.
Ici, les paroles de ON LOVE
 
One Love! One Heart!

Let’s get together and feel all right.

Hear the children cryin’ (One Love!);

Hear the children cryin’ (One Heart!),

Sayin’: give thanks and praise to the Lord and I will feel all right;

Sayin’: let’s get together and feel all right. Wo wo-wo wo-wo!

Let them all pass all their dirty remarks (One Love!);

There is one question I’d really love to ask (One Heart!):

Is there a place for the hopeless sinner,

Who has hurt all mankind just to save his own beliefs?

One Love! What about the one heart? One Heart!

What about – ? Let’s get together and feel all right

As it was in the beginning (One Love!);

So shall it be in the end (One Heart!),

All right!

Give thanks and praise to the Lord and I will feel all right;

Let’s get together and feel all right.

One more thing! 

Let get together to fight this Holy Armagiddyon (One Love!),

So when the Man comes there will be no, no doom (One Song!).

Have pity on those whose chances grows t’inner;

There ain’t no hiding place from the Father of Creation.

Sayin’: One Love! What about the One Heart? (One Heart!) 

What about the – ? Let’s get together and feel all right.

I’m pleadin’ to mankind! (One Love!);

Oh, Lord! (One Heart) Wo-ooh!

Give thanks and praise to the Lord and I will feel all right;

Let’s get together and feel all right.

Give thanks and praise to the Lord and I will feel all right;

Let’s get together and feel all right.

One love pour les habitants de Banatsi Sokolac!!!

Le plat Gousset à Granville

Promenade du Plat Gousset

Encore un bout de ce que j’aime dans ma Normandie. Les promenades le matin de marée haute, à regarder les vagues qui viennent s’écraser sur la promenade, parfois sur les cabines.

C’est encore plus beau le soir, mais pour capter ces moments merveilleux, il faut une caméra un peu plus professionnelle.

Cependant je suis convaincue que ce petit film vous fera passer un moment agréable.

Le plat Gousset est comme la promenade des anglais, en moins grand. Mais le spectacle en vaut la peine.

Regarder les vagues qui viennent lècher, embrasser la digue comme pour marquer leur territoire, le spectacle est magnifique!

On ne se lasse pas d’une promenade au Plat Gousset.