Nostalgie des vacances: promenade à marée basse
Promenade à marée basse
Marcher dans l’eau de mer qui vous frôle les chevilles,
Admirer l’immensité de l’océan,
Sentir les caresses de l’eau froide autour de vos chevilles
Telle une masseuse dans un institut
Ici vous êtes dans un « spa » à ciel ouvert
La nature vous fait cadeau
Il ne tient qu’à vous d’en tirer partie
Sans rien debourser
Quelle belle détente
Après des journées de vacances aussi remplies
Communiquer avec la nature,
Nul besoin d’exposer cette peau si fragile
Belle récompense n’est ce pas?
J’adore être là, j’adore marcher sur l’eau, des heures entières, sur de longues distances, observer, les gens, rires des autres, gentillement bien sûr, et rentrer le soir la tête pleine de rêve, du soleil couchant qui couvre de ses rayons l’immensité qui s’est retiré l’espace de quelques heures, des enfants qui jouent, des pecheurs à pieds, qui non avertis se laissent prendre au piège des sables mouvants….
Ce n’est plus les vacances, c’est encore les vacances dans ma tête
Il ne tient qu’à moi de vivre des vacances sans fins.
Tout se vit dans la tête
N’est pas ce que ce dont nous octroie le monde virtuel de cette aire????
Délire de Willykean.
Que ces vacances se prolongent indéfiniment… un petit verre de Jurançon ?
mais non, l´eau n´est pas froide dans ce spa à ciel ouvert!
Allons pour un verre de Jurançon Olivier! ou pourquoi pas du bon cidre?
Fletel, l’eau est vraiment froide. Je l’aime sur mes pieds, c’est rafraichissant, apaisant, mais je n’irais pas m’y plonger.
Les enfants sont assez fous avec quelques adultes pour aller nager dans une eau froide.
Et puis, tout ce que j’aime c’est de faire de longues marches sur la plage. Pas du tout adepte de la baignade.
Tu écris et décris des sensations tellement agréables que je pourrai me surprendre à aimer la Normandie (je suis une ultra ultra urbaine!). Bravo pour ta prose et ton enthousiame communicatif! Bonnes vacances sans fin (un peu terrifiant tout de même! Lol!)
Moi je suis double, multiple même. Citadine quand il le faut et provinciale dans mon autre moi.
Et puis, aller à Granville, à deux ou trois heures de Paris, respirer, la mer, la campagne, voir tant de chose, profiter de la nature…..
Il faut dire que les vacances ont filer au gré de mes envies. Et actuellement je pleure, je m’arrache les cheveux parce que j’ai perdu mon carnet de notes… Mais bon, la mémoire fera le travail.