Revoir ma Normandie/Sur la route again!

Un week end de quatre jours!

Super. Retrouvailles en famille, baptème, anniversaire, une belle occasion de revoir ma Normandie.

Je reviendrai avec plein d’anecdotes et d’images à partager avec vous.

Bon week end à toutes et à tous.

L’accro du shopping s’en va à un mariage

Je confesse que je suis une accro de Accro du Shopping, la série. J’en suis à L’Accro du Shopping dit Oui pour l’instant.

Pourquoi je suis accro? Parce que je m’identifie à Becky Bloomwood. Certaines d’entre nous ont quelque chose de Becky. Je dirais même que je suis une Becky en plus foncée. Attendez de savoir pourquoi. Je ne dirai pas tout mais juste un exemple.

On a toutes un jour été invité à un mariage, et de surcroit au mariage de sa meilleure amie. Donc, retournons seize ans en arrière. Ma meilleure amie a décidé de dire oui. C’est un mariage qui s’annonce plutôt « grand ». Avec des Excellences et tout ce qui peut s’y rapporter. La nouvelle à peine assimilée que je commence à me donner des migraines.

Il me faut une tenue, deux peut être, non pourquoi pas trois, une pour la mairie, une pour l’Eglise, une pour le soir; tant qu’on y est. C’est l’occasion d’exhiber mes trouvailles.

Mais en parlant de trouvailles, celles qui peuplaient déjà mon armoire n’avaient pas l’air à la hauteur de l’occasion.

L’armoire croule sous les vêtements mais ce n’est pas assez beau pour ce mariage là. J’avais découvert en me promenant dans le 17 ème, une boutique de marque italienne en train de fermer définitivement. J’entre pour voir et là, oh mon dieu! mon dieu! les robes, les vestes à vous faire craquer! j’apperçois un trois pièces mauve, Bermuda+ bustier+ spencer. Très joli. J’achète, sans même l’essayer. Puis, un autre trois pièces, à la fois classique et sexy: une jupe au dessus du genou, avec son bustier genre Pamela Anderson lacé devant et sa veste à manches courtes, couleur pèche, le tout à paillettes translucides.

La vendeuse m’a regardée, surtout la poitrine, avant de me préciser poliment gentillement mais fermement que c’était du 42.

 « ça ne fait rien, je prends ». C’est vrai, je ne suis pas couturière pour rien. Je comptais faire des retouches.

Je ressors avec mes beaux paquets. Et mille deux cent francs en moins sur mon compte. Le remors n’a duré que le temps d’un flash. Après tout, c’est le mariage de ma meilleure amie. Et il y aura des Excellences en nombre. Il faut être au mieux de son look.

Je rentre chez moi, j’essaie mon bustier pêche. A moins de me faire faire regonfler les seins avant la date fatidique, il aurait  fallu le mettre entièrement en pièce et le recoudre si je veux qu’il soit à ma taille.  Et tout compte fait, je ne pourrais pas aller à un mariage où il y aura autant d’ambassadeurs  au mètre carré, venus des quatre coins du monde, en bermuda, même si c’était un très beau bermuda de grande marque.

Bon, la recherche continue donc, je me rends place de clichy, j’avais répéré une boutique avec des robes en vitrine, à des prix défiant toute concurrence. Au point où j’en étais, il fallait viser moins haut. Sur place, je réalise que les prix des vêtements en vitrine allaient de pair avec la qualité. Pour repartir avec quelque chose de potable, il fallait « casquer » comme on dit. Un ensemble fourreau avec boléro bleu nuit, la robe fendue jusqu’à la cuisse me fait des appels. Impossible de repartir sans cette robe. Je l’ai trouvé ma tenue.

C’est celle là qu’il me faut pour le soir. Elle est parfaite. J’avai résolu à moitié mon problème. Je suis repartie avec un très bel ensemble et 1500 francs en moins sur mon compte. En l’espace d’une semaine, j’avais dépensé plus qu’il n’en fallait.

Mais je jubilais. Je m’imaginais déjà dans ma robe perchée sur mes talons de 10 centimètres au diner dansant.

Ce n’est pas fini. Il me manquait la tenue pour la mairie. J’ai « invité » Monsieur à aller flanner du coté des Comptoirs des Marques un samedi après midi. Comme il ignorait que j’avais déjà l’ensemble bermuda, l’ensemble pêche, et le foureau, il m’a offert ma tenu pour le mariage de ma meilleure amie: un deux pièces robe et veste rouge, lacé dans le dos. J’étais aux anges.  Tout était fin prêt pour le grand jour. Je pouvais retrouver le sommeil.

Je ne parle pas d’accessoires, je n’ai pas eu à en racheter. Et le  coup de folie en vallait la peine. Vin d’honneur et diner dans les sallons du Concorde Lafayette, la patisserie a pris l’avion pour venir à nous. Le gâteau, offert par un ami patissier, pour les remercier de lui avoir obtenu des marchés dans le pays grâce à leur carnet d’adresse. A couper le souffle. On oublie les robes pendant un instant et on retient son souffle pendant la traversée du gâteau. Je me demande bien si c’était necessaire de s’endetter pour partager le bonheur de sa meilleure amie ou si c’était juste pour  mon plaisir personnel.

Après le mariage, il a fallu manger des sandwichs, crêpes ou pâtes pendant quelques temps.

Aujourd’hui encore, je ressors de temps en temps mes trouvailles pour les humer, parce qu’elles ornent mon armoire, ou pour les essayer. Qui sait, avec la naissance des enfants peut être que mon bustier  aura l’air un peu plus Pamela Anderson, Le fourreau par contre ne va plus du tout. Le temps a passé, les enfants ont grandi et les kilos se sont fait de la place.

Le bermuda a été le plus utilisé. La première fois c’était pour prendre l’avion avec les loupiots. Imaginez maman willykean jouant à Kate Moss avec trois petits bouts de choux accrochés à la cuisse… ça a fait son effet lorsque nous avons descendu les marches pour prendre la navette nous conduisant à la douane des frontières. La classe, quoi; rien à voir avec le tapis rouge mais c’est comme si. Le seul ennui, c’est qu’il pleuvait des cordes. Maman willykean n’avait pas de parapluie, les loupiots voulaient tous aller dans les bras.  Et la classe s’en était allée avec les cheveux dégoulinants et le maquillage défait.  je ne suis pas Kate Moss, je reste tout de même très classy avec un enfant à chaque bras et un au sol en pleurs.

Dans un bermuda mauve, on peut tout faire!

Toujours accro du shopping mais en cure.

Et vous, quel(les) accro de shopping êtes vous?

Suggestion de lecture:

Confessions d’une accro du shopping

L’Accro du shopping à Manhattan

L’Accro du shopping dit Oui.

Je participe au concours de blogs Cosmopolitan

C’est mon premier concours. Pour le fun et aussi pour gagner plein de cadeaux. La liste est arrêtée pour le mois de Mai. Pour les mois suivant, j’aurai besoin de votre soutien.
Pour cela, il suffira de cliquer là. Ce macaron vous conduit là où il faut. Voter http://willykean.com
Si parmi vous, certaines sont inscrites, qu’elles n’hésitent pas à me le faire savoir.
 
 
 

cosmopolitan

Cadet Roussel

Un des personnages les plus populaires de la Révolution française fut un modeste huissier d’Auxerre : Guillaume Joseph Roussel, dit Cadet Roussel. Il inspira la chanson que l’on trouvait sur toutes les lèvres aux heures les plus noires, expression vivante de la bonhomie et de la gaieté françaises à une époque ou d’autres mœurs semblaient triompher.

 

CD

 

Né le 30 avril 1743, second fils de Jean Baptiste ROUSSEL, boucher, tanneur, et enfin cavalier de la maréchaussée,ce qui lui valut son surnom, et de Marie Pierrotte GIRARD,  Cadet Roussel vint se fixer à Auxerre en 1763. D’abord domestique et laquais dans quelques bonnes maison de la ville, le confort bourgeois qu’il cotoie lui fait envie et il décida de changer de métier.

En 1770, il acheta  une place de Clerc d’huissier ce qui lui permet de se familiariser avec le droit, d’apprendre le métier, et de de faire quelques rencontres utiles . 

Ainsi en 1780, il décide de racheter la charge de Premier Huissier audiencier au bailliage et présidial d’Auxerre. Il obtient ses lettres de provision.

Comme on le reconnaît « pour un très honnête homme, de bonne vie, mœurs et conversation, fidèle et affectionné au service du roi « , il est reçu dans ses fonctions le 15 mars 1780.

En 1781, Cadet ROUSSEL se porte acquéreur d’une petite maison à Auxerre située place du Prétoir (actuelle place du Maréchal Leclerc). Souhaitant agrandir sa demeure, il obtient de la municipalité le droit de construire une loggia de deux pièces au-dessus de l’arc qui relie l’horloge à cette place.

Puis, la Révolution Française éclate. L’imagerie populaire de Cadet ROUSSEL avec son tricorne va naître..

En septembre 1792, les volontaires Auxerrois s’apprêtent à partir combattre les tyrannies Européennes. Il leur faut une chanson de marche. Elle ne sera pas guerrière, et l’Huissier Auxerrois en sera le héros bien involontaire.

L’auteur de la chanson n’est autre que le Chevalier Gaspard DE CHENU, écuyer, seigneur du Souchet et de Prunier.

C’est l’un des signataires, le 24 juillet 1790, de la très fameuse  » Protestation des gentilshommes de Puisaye » contre le décret sur la suppression de la noblesse.

Depuis le début des événements, il exerce sa plume acide au détriment des hommes ralliés au nouveau pouvoir. Cadet Roussel n’y échappera pas.

Gaspard DE CHENU crée alors une chanson satirique sur une adaptation de la  » Chanson de Jean de Nivelle  » du Sieur de Bellone, datant du XVème siècle.

L’air est très connu et les paroles nouvelles se répandent dans Auxerre comme une traînée de poudre.

La chanson est adoptée par les volontaires Auxerrois. Elle devient leur « Marseillaise » gagne une partie de l’armée, puis toute la France révolutionnaire….

Après cette période, Cadet ROUSSEL ne fait plus parler de lui localement. Il perd sa première femme, le 14 janvier 1803.

Agé de soixante ans, il épouse trois mois plus tard une femme de vingt-trois ans sa cadette. Ils n’auront pas quatre années de vie commune… Guillaume Joseph ROUSSEL est inhumé  le 27 janvier 1807.

Voilà, j’ignorais tout de Cadet ROUSSEL jusqu’au jour où j’ai suivi son étoile, pas à pas, dans l’espoir de retrouver mon parking. Malheureusement ilne m’a pas été de grand secours. J’aurais dû prendre un GPS piéton. Mais c’est avec beaucoup de plaisir que j’ai lu tout ce qui a été écrit à propos de cet homme courageux, ambitieux, qui n’a pas peur du ridicule et qui sait tirer partie du pire.
  
 Un peu plus de lecture sur ce site. ou

Devon Aoki : Une nouvelle définition de la beauté dans un monde d’uniformité.

devon aoki-canneTout le monde ne peut pas être Claudia Schiffer, Herzigova ou Adriana. La beauté ne se limite pas à 1,85-90-90.

Twiggy nous l’a prouvé avant Kate Moos. Aujourd’hui nous avons Devon Aoki.

Le monde de la mode avait besoin de changement, de nouveaux visages et des critères de beauté moins figés. Devon Aoki ne correspond pas à cette  catégorie, celle des mannequins aux jambes interminables, blondes aux yeux bleus; mais cela ne l’a pas empêchée de se faire  une place dans le milieu très confidentiel et de s’y maintenir.

Devon, né Devon Edwenna Aoli n’a pas eu beaucoup de mal à se faire un nom dans le milieu de la mode. Elle a 19 ans lorsque  sa marraine la présente à Kate Moss, qui décide d’en faire sa protégée.

En 1998, la chance lui sourit  quand elle remplace Naomi Campbell pour le défilé de Versace; les grandes maisons se l’arrachent. Elle devient l’icône de Chanel, Lancôme, Thierry Mugler, Balenciaga, Gauthier, Givenchy.

Et ce n’est pas tout. Loin de se contenter de cette notoriété dans la mode, Devon  ajoute le cinéma à son actif: elle joue dans 2 Fast 2 Furious en 2003. Death of a dynasty et Sin City.

Aujourd’hui elle prépare un album  avec l’aide de son ancien petit ami, Lenny Kravitz et  compte lancer sa propre griffe.

Avec Davon, les mannequins de petite taille sont à nouveau très à la mode. Un visage comme le sien, unique, ne peut que s’imposer sur la durée.

Maintenant, que dois je faire pour devenir unique moi aussi. Je suis très grande, mais certainement pas Davon Aoki.

Rester tout simplement soi même, comme l’a fait Devon.

Devon aokidevon-aoki1Devon-Aoki-2Devon-Aoki 3devon aoki 4davon aoki 5

Orianne Collins: des bijoux qui font rêver

Des idées d’or et de diamant.

Originaire de Thaïlande et de Suisse, Orianne rêve de devenir créatrice de mode.   Mais très vite elle change d’orientation. A 21 ans elle décide d’ouvrir sa propre agence de communication « O com » en 1994 : création de logo, événementiel, oeuvres caritatives rythment la vie de sa petite entreprise de huit personnes.

En 1999 épouse Phil Collins. En 2001, ensemble, ils fondent Little Dreams qui aident les jeunes gens à aller au bout de leur rêve. En 2006, elle met en place une société d’événementiel The Right Event. Autodidacte, elle s’engage dans la personnalisation du bijou et créée sur le net The Right Label, une marque de joaillerie.

Orianne propose des collections personnalisées aussi bien par le choix des pierres que par la matière de l’or. Un concept audacieux et novateur : commander et réaliser soi-même ses bijoux sur la toile. En effet, la femme participe pleinement au processus de création de son bijou, à n’importe quel moment du jour ou de la nuit. Plusieurs univers s’offrent à elle comme par exemple Les inédits : il s’agit de la reproduction d’une photo sous forme de dessin au trait, soit d’une gravage simple. Jade, onyx, nacre grise ou blanche, lapis lazuli, agate, rouge ou bleue, en bague, collier ou bouton de manchette…

J’ai un faible pour ces pendentifs For ever en Topaze bleu

 

Boucles d'oreille for ever, topaze

Et aussi pour ce bracelet Satin Heart

Bracelet satin heart

N’oublions pas nos hommes. Un choix de boutons de manchettes toutes aussi beau les uns que les autres, en nacre, diamant blanc et or jaune.

 

nacre diamant blanc et or jaune. Bouton de manchette

 Et enfin cette magnifique bague en quart fumé, saphir, diamant et or blanc

 

quartz fumé, saphir, diamant et or blanc

Pour tous les amateurs de Orianne Collins,

 http://www.oriannecollins.com/FR/collections/les_collections.html

 

Iman Bowie

IMANIman Bowie est la première femme noire à avoir fait la couverture de Vogue, crée sa propre marque de cosmétique  et sa ligne de vêtements.

photo,

http://www.purepeople.com/people/iman-bowie_p727/photos/1

Née en 1955 à Mogadiscio en Somalie, Iman  Mohamed Abdulmajid,  aujourd’hui 53 ans, fille de l’ambassadeur de la Somalie en Arabie Saoudite et d’une gynécologue, était loin de se douter qu’elle deviendrait un jour un symbole de force et de courage.

En 1975, alors qu’elle étudie les sciences politiques à l’université de Nairobi, Iman est remarquée sur le campus par le photographe Peter Beard. Il la persuade de devenir mannequin et l’aide dans se démarches. Cette expérience, qui devait être temporaire pour la jeune fille, se transforme très vite en conte de fée. L’agence Wilhelmina Cooper de New York  l’engage. Ce fût le début d’une longue carrière pour Iman.

Un port altier, des attaches fines, un corps de liane, c’est l’un des premiers mannequins noirs à faire des couvertures de magazine.   Très vite elle devient la muse de plusieurs designers dont Yves Saint Laurent, Calvin Klein, Versace ou encore Donna Karan. Yves Saint Laurent lui dédie même une collection « African Queen ».  Il dira d’elle:

  » Iman, c’est la femme de mes rêves ».

Son ascension est fulgurante. Elle ouvre la voie aux Topmodels en devenant une star. En 1975, elle est la première femme noire à faire la couverture de Vogue. Un peu plus tard, Iman épouse Spencer Haywood, un as de la NBA avec qui elle a un fille, Zuleka, née en 1975. Elle divorce, en 1987; Haywood obtient la garde de leur fille  puis; c’est son mariage en 1992 avec David Bowie qui la rend encore plus populaire dans le monde entier.  Ils deviennent parents d’une petite Alexandria Zahra, le 15 aout 2000.

En 1989, Iman décide de se rétirer des podiums.

Frustrée du traitement réservé à la beauté noire, Iman lance en 1994, sa propre marque de produits de beauté destinée aux femmes de couleur ainsi qu’une ligne de vêtements, Iman Global Chic. Aujourd’hui, elle est aussi la porte parole de l’association Keep a Child Alive, qui lutte contre les ravages du sida en Afrique et en Inde.

iman0001

www.imancosmetics.com

www.sephytal.com/ilan

www.amazon.fr

 iman10001iman20001

Photos, Premiere Dame

June Shop: Le métissage des modes

Une rencontre, deux personnalités complémentaires: c’est la naissance de JUNE.

Nelly et July se sont rencontrées lors d’un job d’été en 2001 et ont très vite fusionné leur passion commune de la mode et de l’Afrique pour créer une marque qui leur ressemble.

Après une Licence d’anglais, Julie, 32 ans, est partie vivre un an au Sénégal où elle a découvert la richesse culturelle et artisanale du pays. De retour en France, elle a travaillé pendant 4 ans en tant que chargée de clientèle pour une compagnie internationale de location de voiture.

Nelly, 30 ans, est titulaire d’une Maîtrise de Philosophie. Elle a travaillé trois ans au sein d’une prestigieuse agence de photographes. D’origine camerounaise, elle a toujours vécu entre la France et son pays natal, cultivant ainsi sa double culture.

Leur collaboration

Totalement autodidactes, elles ont commencé par réaliser des sacs de plage en wax (imprimés africains sur tissus de coton), puis elles se sont attaquées à des coupes de plus en plus complexes. Elles proposent aujourd’hui une ligne de prêt-àporter féminin complète, avec 2 collections par an.
Les deux jeunes femmes sont d’autant plus complémentaires qu’elles n’ont pas les mêmes goûts en matière vestimentaire! Nelly, noire et mince, développe des tenues courtes et près du corps aux couleurs chatoyantes, tandis que Julie, plus ronde, affectionne les longues tuniques élégantes plus sombres pour mettre en valeur les peaux blanches. Elles touchent ainsi un public très hétérogène, allant de la Bobo parisienne, à la Mama africaine en passant par la BCBG.
FatoudyptiqueGalla+Ghaëlle2
 

 

Les collections mélangent aisément les tissus africains,wax, basins (coton tissé aux dessins ton sur ton) ou bogolans (tissages de coton brut avec peintures aux pigments naturels), à des matières « occidentales » comme le velours côtelé, le jeans, la soie sauvage, le tissu vichy, ou encore la laine polaire.

Kimbis1KimdyptiqueGalladyptiqueGhaëlle2Sophiedyptique

Julie et Nelly réalisent des petites séries constituées de pièces uniques : le même modèle est décliné en 13 articles du 34 au 50, dans 13 tissus différents.Avec un concept qui réconcilie l’exotique et le classique, JUNE propose une ligne de prêt-à-porter complète, été comme hiver, pour toutes les «modeuses » de tout â, toutes les morphologies, aussi bien pour aller travailler que sortir ou se détendre.
La boutique JUNE est à l’image des créatrives: un lieu de rencontre et de création, qui invite  clientes et  flâneurs à s’installer pour consulter les photos et croquis de la collection. Ou même prendre un thé ou un café en discutant mode et tendance avec les deux créatrices.

Dès l’entrée, un coin cosy avec un grand canapé zébré invite les clients à se détendre.

Le 22 janvier 2009, lors du premier concours parisien de la marque VLISCO, JUNE a été lauréat du «prix jeune créateur». VLISCO est le dernier producteur de «véritables wax hollandais », cotonnades richement imprimées d’une qualité exceptionnelle.

 
 

 

www.vlisco.com

 

 

Vidéo du défilé disponible sur

http://vids.myspace.com/index.cfm?fuseaction=vids.individual&videoid=56232533

JUNESHOP 13 Villa Saint Mcihel 75018 PARIS M° La Fourche ou Guy Moquet l.13

 

 
 

 

contact@juneshop.net,  www.myspace.com/juneshop

Contact presse: presse@juneshop.net

www.juneshop.net

www.myspace.com/juneshop

www.facebook.fr (rechercher JUNE SHOP)

Tél : 06 61 10 78 21 / 06 12 18 83 15

Crédit Photos, Sabrina LAMBRETIN

Source, DOSSIER PRESSE JUNESHOP