Garde robe pour trois

Vous avez entendu Au secours je suis maman d’adolescents! et les articles de la rubrique : Les triplés et moi

Et bien, comme je le disais, la vie n’est pas de tout repos, surtout lorsque vous avez quatre passionnés de mode à la maison.

Pas de sexisme ici. Même mon fils s’y est mis. Mais pour lui, tout est calculé, raisonné, étudié. Il plannifie ses achats, part en répérage, en prévision des prochains shoppings.

Je l’accompagne rarement faire du shopping. Les rares fois où il me donne ce privilège, c’est pour me demander de l’accompagner au Printemps Haussman. Avec son père, c’est chez Colette ou d’autres magasins découverts sur le net.

J’appréhende ces virées shopping: Je me fais des films. Personne ne m’a rien dit mais je me complique la vie toute seule.

Mon fils, 1, 95 cm à 15 ans. Marche à mes côtés, ou c’est plutôt le contraire. Nous n’échangeons que sur les couleurs, le prix, la longueur. Pour le reste, je souffre en silence. Déjà que je crains que l’on me prenne pour une cougar avec son baby boyfriend.

Si en plus il a la taille du pantalon à mi- hauteur des fesses, où allons nous.

Mon fils veut s’acheter une veste, pour aller au lycée. Une veste qui ne soit ni trop chic , ni trop jeune, mais assez habillée pour le grand tournant. La vérité c’est qu’il a 15 ans, qu’il est en seconde, et qu’il n’est plus un enfant, qu’il évolue, même la musique qu’il écoute a évolué aussi… Tout ça c’est lui qui me l’a expliqué. Comme si moi sa mère je pouvais l’ignorer.

Bref, nous avons fait trois niveaux du magasin, passé au scanner les prix, Il veut cette veste et c’est pour le mois d’octobre: 200 euros et quelques poussières. Lorsque nous sommes enfin sortis de là. Qu’est ce que j’ai fait d’après vous?

« Youpiiiiiiiii! C’est terminé, nous rentrons à la maison »

Mon fils m’a très vite ramenée les pieds sur terre.

« Mais non, maman, nous allons maintenant à STADIUM »;

Le stadium, c’est le temple d’une certaine jeunesse très au courant des tendances. Au stadium, il a essayé, comparé, admiré des chaussures, des pantalons, des chemises… avant de se fixer sur un :150 euros.

Il m’a fait promettre de ne rien dire à papa. Papa ne comprend pas les jeunes vous savez. S’il s’offre des jeans bas de gammes, moi je préfère m’en acheter un très bon, une marque: S’il sait le prix de mon jean, il va me « souler » pendant des mois.

Motus, bouche cousu. Je serai aussi muette qu’une tombe. Avant de sortir du magasin, nous passons obligatoirement par le rayon magazines. Le sien c’est WAD

La plupart du temps, le pantalon est récupéré par maman. Tant pis si j’ai un look garçon dans le pantalon abandonné par mon fils!

Passons aux filles. Ah les filles. J’adore mes filles. J’en ai une qui ne jure que par les slims les leggings et le dernier en date dont je ne me souviens plus de l’appelation. Elles ce sont de vrais fashionistas. Si elles avaient des blogs, elles me battraient à plate couture; Des apprenties Tavi.

15 ans aussi et je tremble lorsque l’une des filles (Coralie) nous organise un week end shopping ou lèche vitrine. Une fois, nous avons fait dix magasins de mode vintage.

Tout ça est très bien. Sauf que les rares fois où je les ai accompagnées, j’étais éreintée. Coralie veut des choses originales, et devrait les créer elle même, ce serait simple pour tout le monde. Au bout de 3 heures de recherche et d’essayage, elle ressort parfois sans rien.

Mais ce qui me tue, moi la maman de triplés, c’est de tout partager, ou plus précisément, de tout voir disparaître. Mon zébré, mon joli top en soie noir et blanc, mes collants, mes robes, presque tout. En plus pour aller au collège, et maintenant au lycée.

La dernière en date c’est ma robe Chantal Thomas. C’est vrai que je ne la mets plus. Mais je la garde réligieusement pour me souvenir du bon vieux temps. Une Chantal Thomas, c’est vintage, Coralie la voulait pour sa boum de fin de troisième…

Pour les chaussures ça va mieux. Depuis peu, elles sont autorisées à mettre des talons. Alors les miennes peuvent dormir tranquille. La zébré? Elles la portent à tour de rôle, pour aller au lycée. J’ai jeté l’éponge. La seule fois où je l’ai cachée, tellement cachée que je ne me souvenais plus où. C’est ma Coralie qui l’a retrouvée.

La dermière pochette San Marina achétée? Dans la penderie de Coralie aussi. Elle a fait toutes les boums, même au baptème du petit neveu, j’ai sorti mon fourre tout alors que ma fille se pavanait avec ma pochette.

Le bon côté de tout ça c’est de trouver en rentrant à la maison, ma fille, affairée dans ma chambre: elle fait du rangement. Je l’observe avec un sourire en coin; ranger ma penderie, c’est mettre de l’ordre afin de retrouver certaines pièces cachées que je prétends avoir perdues, faire le tri, choisir ce qui lui plait et les transférer dans la sienne.

C’est ça être maman d’adolescent, c’est ça avoir de triplés.

Blog post et mauvaises interprétations

On parle souvent des blogs, du nombre de visites, du nombre de commentaires, sans jamais se pencher sur l’intérêt réel des visiteurs ni l’interprétation de ce qu’ils prétendent lire.

Je vous avoue que j’écrie avec plaisir et donc j’apprécie que les visiteurs réagissent à ce que j’écrie.

Mais si l’on a des visiteurs, beaucoup ou peu de visiteurs, peut-on vérifier qu’ils lisent vraiment ce que l’on écrie, ou se contentent-ils de survoler, de lire en diagonal et de commenter ce qu’ils croient avoir compris?

Je crois que je suis comme certains. Parfois je survole, mais dans ces cas là, je salue le blogueur ami et je passe mon chemin. Il faut que le sujet m’interpelle, si je ne sais pas quoi dire alors je m’abstiens d’écrire un commentaire.

Bref, ce constat m’a fait revenir sur certains des commentaires fait sur mon blog. Certaines situations, qui se sont plus ou moins soldées par de plates excuses des visiteurs qui ont lu de travers un sujet.

Le plus populaire des blog posts mal interprétés c’est :

Comment rencontrer une cougar

Ce sujet a fait sortir beaucoup de loups de leurs réserves. J’ai eu beaucoup de demandes de mises en relations. Pourtant, il y avait bien une longue liste de sites pour amateurs de cougars.

Avec Cougars in the city, je suis passée pour une cougar. Je ne leur en veux pas. Mais je rassure tout le monde que je suis avec un non toy boy depuis 18 ans. Et ça ne changera pas. Seulement j’aime parler de tous les sujets qui m’intéressent.

Une blogueuse mode m’a accusée de dénigrer les créateurs et les couturiers. Après plusieurs échanges de mails et de commentaires, nous avons fini par nous comprendre. L’article responsable c’est celui là:

Talons et fantasmes de designers

Elle a fini par admettre qu’elle avait mal interprété mon message et mon humour.

Un autre, parce que j’avais  relayé une annonce de concours de sextoy (humoristique), s’était octroyé le droit de venir se défouler sur mon blog. Un mail très poli mais ferme pour lui faire comprendre que mes lecteurs et moi n’étions pas friands de ce genre de forum, les commentaires incriminés supprimés et voilà.

Il y a eu la vidéo de Billy Billy, le chanteur ivoirien. J’ai eu droit à des félicitations, qui selon moi s’adressaient au chanteur. La plupart de mes lecteurs occasionnels se croyant sur le site ou le blog du chanteur. Je promets à chaque fois de transmettre. Que pouvais je faire d’autre?

J’ai même eu droit à une déclaration d’amour d’une lectrice qui était sans doute convaincue de se trouver sur le site du couturier Gilles Touré.

Quant à Akissi Delta, je continue de recevoir des félicitations et des hommages qui lui sont adressés. Etant moi même accro des feuilletons « ma famille », je comprends mes lecteurs. Mais je ne suis pas Delta. J’aimerais la rencontrer autant que vous.

Le plus difficile à résoudre, ce fût le cas Carla Bruni : ça tournait au grand débat politique. Avec un détour par les états unis avec obama et sa politique et que sais je encore. Les échanges ont été assez vifs en restant dans le politiquement correct.

Mon visiteur n’a pas admis son erreur ouvertement. Mais après le cinquième mail d’explication agrémenté de passages de mon texte et des commentaires de mes lecteurs qu’il m’attribuait à tort. Je n’ai plus entendu parler de lui ou d’elle.

On peut dire que Carla soulève les passions. Mais je continue de vous dire que la Carla qui m’intéresse c’est Carla ex top model et Carla artiste.

Je n’ai pas terminé la revue de commentaires assez décalés suites à certains de mes posts. Le plus improbable jusqu’à aujourd’hui, c’est celui d’une lectrice du Cameroun, toujours à la suite de Billy Billy.

Je le récopie ici pour partager avec ceux qui ne l’auraient pas lu déjà:

  • mboudou mballa claudine lucie dit :

    à l’attention du Directeur de Willykean
    Moi je fais dans les mêmes services que vous, je forme les femmes aux techniques de ménages et je les place dans les domiciles des particuliers
    alors je suis à la recherche d’un partenaire avec qui nous pourrons inverstir ensemble pour booster la demande et l’insertion. Au Cameroun c’est un secteur encore vierge
    Je vous en prie
    en ce moment, j’ai déjà inséré 52 femmes dans les domiciles privés et la demande est forte.
    j’ai besoin d’un partenaire
    Mme MBOUDOU MBALLA CLaudine Lucie
    Directrice de MVOLIBOT
    Cameroun/Yaoundé

  • Après lecture de ce commentaire, j’ai essayé de comprendre. Aucune rapport avec  avec Billy Billy. Et j’ai fait mon interprétation personnelle. Pour moi, c’est un commentaire égaré. COmme parfois lorsque l’on a envie de commenter un article parlant de chaussures et que l’on commente par mégarde l’article de dessous, parlant de lingerie. Eh bien ça donne ça.

  • Ei je crois que cette dame a dû lire : vise mon boubou, je suis femme de ménage

  • Une raison suffisante pour vouloir s’associer avec moi.

  • Je la comprends, et je comprends aussi tous ces sites qui veulent bien faire et qui, au vu d’un mot clé, classent vos flux RSS sur leurs sites, qui n’ont rien à voir avec votre message. Un de mes articles est répertorié sur un site qui parle d’immigration en suisse, pour vous dire!

    Bon, je pense qu’en j’en ai assez dit ce matin. Pour ceux que ça intéresse, il y en aura d’autres, des quiproquos sur blog.

    Blog mode à découvrir, suite

    J’ai commencé une liste de blog à découvrir, résultat d’une requête google. Je répète encore que ce n’est pas un classement mais simplement une liste.

    Visiter, surfez, découvrez des blogs tout frais, sans discrimination. Il n’y a pas que les filles dans la mode. Dans ma quête je suis tombée aussi sur des blog hommes.

    Satirialist

    Blog mode Derhy

    Punky B

    grunge manners

    Fleur de menthe

    Les bons plans mode à paris

    Le gay blog

    Miss Pandora

    Cuillère à absinthe

    Pensées de ronde

    I love 80

    Blog mon blog

    Marie Luv Pink

    Peste de mode

    blog chaussures chemises

    Hippie Chic

    Ce sera tout pour aujourd’hui. Le reste est à venir.

    Dire non!

    Les pièges de la politesse et du politiquement correct.

    C’est la société qui le veut ainsi.

    Parfois dire oui lorsque l’on pense le contraire (ça pourrait vexer son interlocuteur)

    Garder le sourire lorsque l’on bouillonne de l’intérieur, faire des compliments à un « cordon rouge » (c’est moi qui l’ai inventé). Disons que c’est le contraire d’un cordon bleu…

    La liste serait très longue si je voulais en faire une.

    Bref, pour en venir aux faits, disons que j’ai passé une semaine pas très agréable après mon week end à Floreffe et Dinant.

    Je me suis reveillée avec une extinction de la voix. Monsieur était le plus heureux car il a dit: ça fait des économies sur la facture de téléphone ou encore : c’est le man’s power!

    Bon ce n’est pas le propos.

    Après une semaine de vie d’hermitte de communication par signes, je reçois le coup de fil de ma nièce. Elle vient d’atterrir à Roissy, elle sait que j’ai de petits soucis de santé et tient à passer me voir avant de continuer sa route sur Auxerre.

    Deux minutes plus tard, le téléphone sonne, c’est mon amie R. Qui m’invite à l’anniversaire de sa cousine. C’est maintenant, tout de suite. Avec elle c’est toujours ainsi. Parfois elle m’appelle pour me proposer d’aller au bar pour faire la fête; elle est brésilienne, elle adore la fête, les sorties, moi aussi.

    Mais une moitié de moi est européenne: on planifie, on organise, on calcule… Parfois je me laisse aller, parfois je dis non.

    Ce jour là j’ai envie de dire oui. Pour sortir un peu de ma tannière, me changer les idées, me défouler. Mais ma nièce vient exprès me voir à sa descente d’avion et je ne peux pas lui faire ça.

    Alors j’ai dit à R que ce n’était pas possible. Elle a beaucoup insisté et j’ai fini par promettre de venir manger le dessert avec elle.

    Ma nièce arrive donc, nous dinons copieusement avant de nous en aller chez R. La fête bat son plein. Musique à fond dans le jardinet. A manger pour des centaines. Je connais mon amie R. Elle n’est pas du tout cordon bleu. Je savais ce qui m’attendait. Et nous n’avions pas faim de toutes façons.

    On nous sert des accras: trop salés! j’ai beaucoup de mal à finir le premier. Lorsque j’admets que j’ai soif, elle m’apporte deux bières au lieu de une. Et vient à intervalles réguliers me demander si j’ai besoin de quelque chose.

    Nous dansons dehors, avant de finir au salon. Il y a l’écran géant avec des enceintes qui pourraient rivaliser avec les boites de nuit.

    Déjà que j’ai énormément de peine à parler!

    Vers 2 heures le matin, nous demandons à prendre congé. R a réussi à me faire prendre du champagne, de la bière, du rhum….

    Nous faisons la tournée des « aurevoir »

    Mais au moment où nous nous dirigeons vers la porte, R nous intercepte.

    « mais vous n’avez même pas mangé! Il faut manger un peu. Asseyez vous? Je vous réchauffe un peu de féijoada.

    « Mais non, dis-je. Tout va bien, nous avons bien mangé. J’ai mangé beaucoup de accras! »

    « Mais il faut manger un peu de féijoada! et un peu de couscous, et peu de… »

    Nous voilà à table. En guise d’échappatoire, je lui dis que je vais picorer dans l’assiette de ma nièce.

    « Et bien je vais en rajouter à son assiette. Il faut qu’elle mange aussi. »

    Nous échangeons un regard qui en dit long, ma nièce et moi. Nous voilà devant notre énorme assiette de Féijoada, de couscous.

    « oh, j’ai oublié le porc ». Elle nous sort un énorme plat du four, et nous coupe deux énormes tranches et vlan dans l’assiette.

    « Bon appétit. Je vais danser un peu. Si vous avez besoin, appelez moi. »

    Bon. La situation est critique. Il faut trouver une solution.

    Je demande à ma nièce (elle est face au salon transformé en piste de danse)

    « sont- ils bien dans la musique, regardent t-ils par là ?

    « Pourquoi »

    « Et bien si personne ne regarde par ici, on met à la poubelle. »

    « Mais ce n’est pas possible, vu la taille de l’assiétée, elle se doutera bien que nous n’avons pas fini en si peu de temps. »

    Nous voilà bien dans la mdr. Il faut trouver une solution.

    Ma nièce tente un premier tour d’adresse. Une tranche de porc jetée dans le plat pas très loin. Puis nous sommes restées en tête à tête avec notre assiette brésilienne, sans savoir quoi en faire.

    A la fin, je me suis levée et j’ai dit :

    « Tant pis mais on laisse l’assiette; Je n’ai pas envie de me forcer à manger une féijoada inmangeable et je n’ai pas envie d’y passer la nuit. »

    On se lève, on laisse tout sur la table.

    Et nous avons filé à l’anglaise.

    Parfois, la politesse peut vous mettre dans des situations embarrassantes. Mais même quand on sait dire non, cela ne suffit pas toujours à vous sortir du pétrin.

    Avez vous déjà été confrontés à ce genre de situations et quelles ont été vos astuces pour vous en sortir?

    Salon du vintage

    Le Samedi 25 et le Dimanche 26 septembre, pour sa 6ème édition, le Salon du Vintage investit l’espace des Blancs Manteaux 48 rue Vieille du Temple dans le IVème arrondissement à Paris.

    Plus de 80 exposants, marchands et spécialistes de la Mode, du Design et des accessoires Vintage vous accueillent dans cet ancien marché couvert, de 10h à 19h.

    Cette édition aura pour thème les Objets cultes, pièces de mode, du design ou implement de la vie courante ayant marqué le XXème siècle.Certains objets entrent dans l’histoire pour leur ligne, leur innovation,leur modernité, leur look, leur diffusion sans borne ou, à l’inverse,leur rareté. Ils n’existent pas uniquement pour leur qualité pratique ou esthétique, ils sont également l’expression de leur époque. Si celle-ci les marque de son empreinte, certains objets marquent eux aussi leur temps. Ils satisfont des besoins latents ou bien éveillent des désirs, ils remplissent leur fonction ou expriment par leur design les goûts et attentes de la société. Ces classiques incarnent l’esprit du siècle, lui donnant un visage. Ils deviennent partie intégrante du patrimoine culturel.

    Quelques exemples d’objets cultes:

    Le Kelly, accessoire fétiche de l’actrice Grâce Kelly. 

    Le Tailleur Chanel : un chic qui ne passe pas de mode, de Coco Chanel à Karl Lagarfeld, en passant par le mythique tailleur rose de Jackie Kennedy.

    Le smoking Yves Saint Laurent : Ces pièces traversent les tendances et sont à présent les must have des nouvelles générations.

    Le 6ème Salon du Vintage –

    Samedi 25 & Dimanche 26 Septembre 2010

    10h00 – 19h00

    Espace des Blancs Manteaux

    48, rue Vieille du Temple

    75004 PARIS

    Entrée libre et gratuite

    Pour plus d’informations, n’hésitez pas à visiter le site : http://www.salonduvintage.com/

     

    Blog mode à découvrir

    Nous avons des classements Technorati, wikio, indexa…..

    Je ne suis pas un robot, je suis willykean et je me suis intéressée  au résultat d’une requête:

    BLOG MODE

    En tapant ce groupe de mots dans google, j’en suis arrivée à 190 000000 de résultats; je me limiterai seulement au 100 premiers. Après tout, ce n’est pas une étude que je suis en train de faire. Seulement une liste pour mon blog surfing.

    Vous avez vos liens attitrés, par affinité, par stratégie, mais je trouve intéressant de découvrir d’autre blog mode, plus ou moins populaires les uns que les autres, certains contrairement à ce que l’on pourrait croire, placés en tête des recherches même avec un PR moindre.

    Pour une fois, je laisse à chacun le soin de découvrir l’un de ces blogs mode en suivant le lien. Il m’est impossible de faire la revu de 100 blogs.

    Je répète encore une fois que cette liste n’est pas un classement. Est est créée selon une requête précise faite à google pour vous faire découvrir des blogs mode passionnants.

    Vous avez sans doute déjà souscrit à certains, j’espère tout de même vous aider à en découvrir de nouveaux.

    Le blog de Betty

    Et pourquoi pas Coline

    Une fille comme moi

    Estelle Blog mode

    Pauline fashion blog

    eugenie pictures

    Look en folie

     Caroline daily

    Tokybanhbao

    Victim de la mode

    The little world of fashion

    Wafa’s blog

    Café mode

    Julia mode

    Nizza girl

    Comme un camion

    Mahayanna

    Blog mode info

    Sonia fashion box

    Camille d’essayage

    The cherry blossom girl

    En mode fashion

    My sac a main

    A certain romance

    Modissimo

    I love my shoes

    Annouchka

    Tendances de mode

    The beauty and the geek

    La lionne

    Lulla blog

    Taaora

    Stylistic

    Lady Aurely

    Blog tendance mode

    La mode des hommes

    Next trend

    Madmoizelle

    Be fashion like

    Willykean

    Les culottes courtes

    The brunette

    Les dessous de Marine

    Il y en a d’autres.

    Bonne découverte!

    Le match des cultures: le travail

    Avant l’accouchement

    Pour ceux qui ne savent pas à quoi rime le match des cultures, laissez moi vous brieffer:

    Le match des cultures c’est une de mes rubriques préférées qui opposent avec légèreté les différences ou les similitudes de ma double culture.

    Ici on dresse un tableau comparatif du mode de vie dans les pays du nord et du sud.

    Bref, nous en étions à la grossesse.

    Je vous disais donc que la grossesse pouvait parfois devenir une source de stress et de tension dans certaines familles au sud.

    Une femme qui désire accoucher dans le calme et éviter la « bêtise » de certains esprits tordus, a plutôt intérêt à activer le travail. Comme si cela pouvait se commander.

    Au nord tout est possible. Quelle ne fût pas ma surprise lorsque j’entendais les gens demander:

    « C’est pour quand l’accouchement? »

    Ce à quoi, certaines futures mamans répondaient:

    « Pour les 16 juin »

    Ici, on laisse une alternative au bébé, s’il tarde à venir, on provoque l’accouchement.

    Au sud ce n’est pas le cas.

    L’accompagnement à l’accouchement se fait en deux étapes.

    La première moitié du travail se fait à domicile, sous la responsabilité des plus âgées , aux méthodes traditionnelles.

    Nous avons attendu plusieurs bébés dans ma famille et je peux vous dire que le travail est presque l’affaire des aînées.

    On en oublie même la future maman. Sa grossesse ne lui appartient plus. Voilà comment ça se passe:

    Le sport. le sport idéal pour une femme en travail, c’est la marche. On vous fait marcher, pour aider le bébé à descendre. On vous masse les hanches pour vous soulager du poids du bébé. Chose horrible que je ne souhaite à aucune femme, vous avez droit à un breuvage fait des feuilles de courges mixées. A ce qu’il paraît, c’est radical pour activer la descente du bébé.

    Tout un cérémonial. Enfant, je n’aurais râté aucun de ces moments pour rien au monde.

    Tout est apparement simple au Nord. Le travail se fait sous monitoring, dans une salle réservée à cet effet.

    Tout est mathematique et probabilité. Si le bébé a été conçu à la mi novembre, fait les calculs et on l’attend pour début août. S’il prend son temps, on déclenche la grossesse. La femme en travail est choyée, brumisateur, le futur papa près d’elle, qui fait la respiration du chien (ils ont suivi les cours de préparation à l’accouchement ensemble)

    Au Nord la femme à l’option péridurale. Ce qui n’est pas le cas au sud. La seule fois où la médecine intervient, c’est pour les complications. Et c’est la césarienne. L’accouchement se fait sans artifices au sud. Tandis que au nord, c’est médicalisé à 60 pour cent.

    Ce que j’aime dans le folklore du sud, c’est que la femme est entourée dans ces moments de douleur et de bonheur.

    Elle est prise en main par celles qui ont l’expérience.

    Même si toutes les idées ne sont pas bonnes à prendre. L’important c’est de ne pas être seule. Les « mâtronnes » savent quand c’est le moment, elle décident alors de conduire la femme à la maternité. En général le bébé arrive dans les minutes qui suivent.

    Le risque c’est parfois d’habiter loin de la maternité, d’avoir un bébé qui en a assez de toute cette « foule » autour de lui, qui n’a plus envie d’attendre, et qui amorçe sa descente dans le taxi.

    J’ai connu le cas d’une future maman en train de pousser sur le branquard qui la conduisait à la salle d’accouchement. On l’avait trop fait attendre à la maison.

    Eh oui! Au sud, nous n’avons pas la science exacte! Mais l’expérience humaine et la cohésion de la communauté.

    Un bébé est avant tout celui de ses parents, mais aussi de la famille, de la communauté. En attendant le retour de bébé à la maison, on s’active. Je ne vous en dis pas plus.

    A bientôt pour vous faire découvrir la façon dont on « materne » les jeunes mamans.

    Affiliation ou liberté de penser!

    Beaucoup ont traité ce sujet et l’ont bien fait. Et il y en aura d’autres.

    Ceci n’est qu’une petite parenthèse en réponse à certaines sollicitations. Mon blog est indépendant et par conséquent je le suis moi aussi. Ecrire des sujets qui m’interpellent, dénoncer certaines pratiques, partager mes passions: ce sont les missions que je me suis données.

    Parfois on se demande si toute cette énergie ne mériterait pas une petite récompense.

    J’ignore si j’arriverai un jour à réunir les deux: loisir et « affaire ». Peut être jamais!

    Je me crois assez rebelle pour me plier aux exigences des sociétés, en quête de partenariat, d’affiliation ou que sais je encore.

    Faites tout ce que vous voulez, vous n’aurez pas ma liberté de penser.

    Je sais que j’aurai du mal à succomber au blog professionnel, qui permet de se faire un complément de revenu grâce aux affiliations. J’en ai crée deux à cette fin sans pouvoir les faire vivre. La raison de ce désintérêt?

    Le plaisir que j’éprouve à écrire ici des sujets qui me tiennent à coeur.

    A titre d’exemple,  ma rubrique littérature m’a valu une demande de revue de roman. A réception du roman, j’ai essayé de le lire. Sans succès. Je n’ai jamais pu aller au délà de 30 pages. Il ne m’intéressait pas. Au lieu de copier coller la revue toute prête publiée partout sur d’autres blogs, j’ai préféré ne rien écrire. Fin de la collaboration. Je n’ai pas relancé, par peur de recevoir encore un autre qui ne m’inspire pas.

    Bref. Le pompom, c’est la demande d’une marque de lingerie. Visite du site. Articles très intéressants. La tentation était trop forte. Alors un petit mail en réponse au responsable de la marque.

    Après lui avoir expliqué les raisons pour lesquelles je ne peux être affiliée, et par conséquent qu’il me faudrait une rémunération pour écrire des articles réguliers, la réponse est tombée comme une gifle.

    Monsieur doute que wordpress n’accepte pas les affiliations, monsieur me réprend intégralement le contenu de son premier courrier en oubliant de le mettre en surgras au cas où je n’aurais pas bien saisi son propos.

    Ma réaction a été des plus rapides.

    A quoi ça sert d’expliquer, de se justifier.

    S’il me lit: je dis, je répète et je confirme que wordpress.com n’accepte aucune affiliation. Deuxième chose. Je n’ai pas attendu après mon blog pour me procurer de la lingerie. Et enfin, je garde ma liberté de penser.

    Et pour tout ceux qui désirent collaborer avec moi, mon blog couvre des sujets divers. Je reste ouverte à toute collaboration réelle. Pas d’affiliation et pas de partenariat de tiroir.

    Merci.