Les caprices d’Hortense

Ou « au bout de ses rêves »

Les Caprices d'Hortense
willykean.com

« Les caprices d’Hortense »est arrivé par mail. Il est beau, il est bien pensé. Je l’ai adopté tout de suite. Les Caprices d’Hortense est un extrait de ce à quoi ressemble ma vie.

Moi j’aurais plutôt traduit par « Rêves d’Hortense ». Parce ce que ce qui peut être pris pour des caprices par les uns représente pour moi, des rêves. J’aurais voulu avoir plusieurs vies pour être écrivain, peintre, photographe, poète, institurice, styliste et travailler dans l’événementiel.

Mais la vie n’est pas assez longue pour vivre tous ces rêves. L’événementiel a pris le dessus sur le reste. J’ai longtemps exploré ce domaine pour le plaisir avant d’en faire une profession. A savoir si je prendrai autant de plaisir. Je l’espère.

Pour revenir à Les Caprices d’Hortense », j’ai été beaucoup émue. Je le suis encore.

« Les Caprices d’Hortense » c’est l’oeuvre de Francine STELMASZYK, Artiste peintre et amie avec qui je collabore aujourd’hui. Francine est l’exemple même de ceux qui ont  un rêve et qui le rendent possible. Francine a commencé dans la Communication, avant de choisir la peinture comme activité principale.

Elle puise son inspiration de la vie de tous les jours, des pensées philosophiques. Francine a réalisé ce tableau en pensant à moi. Ce fût une agréable surprise et j’en suis profondément touchée.

Quant à « Le hasard des choses », je crois en avoir capté le sens. Mais je laisserai Madame STELMASZYK s’exprimer ici elle même.

Merci encore ma chère amie.

Toutes les oeuvres de Francine STELMASZYK sont ICI

Oeuvres déposées. Reproduction interdite sans l’autorisation express de l’artiste.

Instinct maternel

Que l’art soit au bout de la souris ou pas, je m’amuse. Je me repète mais bloguer devrait être un plaisir. Plaisir pour ceux qui nous lisent et pour nous qui écrivons;

Le texte est le pillier d’un blog. Mais l’image a une forte valeur dans la transmission de message.

Je blogue des images en pop art par touches ponctuelles.

Ici une mère et son fils en trois versions.

Un bébé, ça donne beaucoup de couleur à une vie!

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Bonne journée!

L’art est il au bout de la souris?

Ce soir je m’amuse. Aucune envie de parler de mode, de sujets d’humeur, de musique; j’avais envie de laisser glisser ma souris, de me détendre, de me faire plaisir.

Trois compositions libres.

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A vous de leur donner un titre.

Francine Stelmaszyk: l’art à fleur de peau

L’inspiration par les mots.

Parlons d’art ce matin. Cet article est particulier pour moi. Particulier dans le sens où il met en lumière une personne importante de ma vie. Perdue de vue et retrouvée il y a seulement quelques semaines.

Francine Stelmaszyk, artiste peintre, m’a fait comprendre, encore une fois, qu’il faut toujours aller au bout de ses rêves. Ne jamais se laisser détourner du chemin que l’on s’est tracé.

Lorsqu’il y a vingt ans, j’ai découvert la première toile de Francine Stelmaszyk, mon intuition me disait qu’il y avait du talent, un talent subtil, concis, qui ne demandait qu’à éclore. C’était une toile neutre, mais déjà pleine de profondeur: une tête d’homme, des mains de femme jointes, qui s’y introduisent par le haut du crâne.

Le travail de Francine a évolué depuis. Toujours dans l’abstrait, des tableaux aux titres évocateurs, des couleurs vives pour la plupart, neutres parfois. L’artiste explore la vie, les sentiments…

Porte Bonheur, Cocon, Pure Tendresse, Rêve d’afrique

L’art chez Francine Stelmaszyk n’est que expression, communication. A chacun d’y donner le sens que l’oeuvre lui inspire.

Pour changer des cadeaux de noël, ou des cadeaux en général, visiter les galéries de Francine Stelmaszyk; c’est à la portée de toutes les bourses.

Odexpo

Galerie d’art

DAMEON PRIESTLY:voir le monde tel qu’il est…

Voir derrière l’image ce qui ne se voit pas ou plutôt ce que l’on ne souhaite pas voir.

 

Deviner ce qui se dit derrière les portes closes, ce qui émane d’une anatomie. Toute cette description narrative qui, protéger par la « croûte » ne demande qu’un peu de friction pour se dévoiler, se mettre en lumière.

 

 

Ce qui peut se cacher derrière une image innocente.On peut trouver son travail sombre, plein de noirceur, mais ne serait-il pas en train de nous « forcer » à une interrogation?. A des interrogations? Ne serait-ce pas une façon à lui de nous faire réagir face à la monotonie du monde qui nous entoure? Tout ce que nous refusons de voir, auquel nous refusons d’être confrontés, tout ces vérités qui nous plongent dans un malaise.

La vision du monde de Dameon peut paraître sombre, mais ses peintures ne font que pointer du doigt l’étrangeté ou l’inconscisance qui se cache derrière la monotonie banale des comportements humains. Il sous entend ce que l’on ne veut pas forcément voir. La métaphore n’apparaît pas immédiatement, mais l’idée dérangeante s’installe ensuite profondément.

 

Dameon peint la vie de tous les jours, la déception, l’anxiété, la tristesse..la joie, tous ces sentiments qui remplissent son travail de sponstanéité. Il s’inspire de littérature, du monde du cinéma, de la réligion, de la politique.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Il traite de la religion et du sexe dans ses séries « Malice in Wonderland » et « The Goods Book ». de la violence et de l’innocence avec « Missing »1 et 2, ou de simples fait divers, comme « Local News Story », qui, sous apparentes légèretés, reflètent l’antinomie de la société américaine.

 

Dameon raconte le rêve américain. Tout simplement. Il se met dans la peau de ses personnages et de  leurs espoirs… violemment déchus. Il construit ses séries de façon très conventionnelles avec une intrigue, un personnage et une action. Son style est si simple que l’on est immédiatement happé par la force de ses visuels qui font sensiblement référence au familier, à ce qui nous rassure, à la beauté, aussi.

 

Pour voir toutes ses séries, c’est ce site qu’il faut visiter. Tout est organisé par série et par thème.