Zak Koné : le pagne dans toute sa splendeur!

J’adore Gille Touré et je ne taris pas d’éloge pour ce créateur. Aujourdh’ui, je peux vous faire découvrir la relève.

Zak Koné. Il est arrivé sur la sphère de la mode il y a seulement quatre ans et brille déjà par son talent sans limite. Provocation, bling bling, Zak ne se prive pas. Et sachez aussi qu’il réalise le rêve des mariées.

Images empruntées à l’album facebook de Zak Koné

Il aime sublimer le pagne dans un monde dominé par le Jean.

Image Journal de la mode

Web trotting 8

Les bijoux sont à l’honneur de mon web trotting de ce matin. Vous allez voir combien de belles surprises au décours d’une promenade sur le web.

Grâce à Tribords  j’ai découvert les bijoux de Calourette

Balançoires, donuts, nageuses, balançoire… bijoux originaux qui nous aide à nous démarquer.

Digby and diona , que vous retrouverez pour l’instant que sur son blog présente des pièces très fortes, inspirées de la nature.
Bague Wood
 
Celle qui me fascine encore plus  c’est Nervous system, avec son concept de bijoux qui découlent de son interaction avec la nature, plus profonde encore son analyse de la faune végétale: une feuille, ses nervures, le bijou…
 
 
Quant à Overso, il nous propose des bijoux réversibles, puisés dans notre environnement de tous les jours.
Qui ne craquerait pas dans ces conditions?
 

Erin Wasson, des podiums au stylisme

Après avoir joué au styliste et à la muse pour son ami Alexander Wang puis crée sa propre ligne de bijoux, la top Erin Wasson est passé au stylisme. Elle a signé pour trois ans avec RVCA, la marque de skate californienne.

Erin Wasson a épaulé Alexander Wang pour le stylisme de sa collection. Les mannequins de Wang ont défilé avec ses bijoux. Un succès immédiat. Alors Erin lance sa marque de bijoux LOWLUX.

Contactée par RVCA, elle décroche un contrat de trois ans pour créer une ligne de vêtements Erin Wasson xRVCA.

L’objectif de Erin, « c’est d’amener le lifestyle californien à Nex York Downtown. Avec des vêtements qui donnent une voix aux filles qui n’ont pas envie de ressembler à leur voisine, ni de coller aux tendances de podiums…. »

C’est une collection qui lui ressemble, des shorts déchirés, de petites robes courtes, des Tshirts..

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Erin wasson x RVCA c/o Colette

ETERNAME: BRACELET RECTO VERSO

ETERNAME: GAGE D’AMOUR

Merci Duménil de m’avoir fait profiter de l’information. Ma proactivité habituellement n’a pas fonctionné pour cette nouvelle. Et j’ai attendu d’avoir le magazine en main pour répondre à votre commentaire.

Commentaire, qui au lieu de faire un nouveau sujet sur ETERNAME, cette marque de luxe dont je suis amoureuse, sera une reprise de vos différentes interventions sur mon blog.

Voilà l’objet précieux est là, parmi tant d’autres.

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Comme disait Dumenil dans ses commentaires sur le dernier sujet à propos des bijoux Eternamé,

Effectivement les modèles sont magnifiques, inspiration d’une directrice de création connue sur la place de Paris pour avoir marqué de son empreinte les boutiques de la place Vendôme, plus particulièrement dans les années 80 à 90, une marque de prestige dont la première lettre est un P avec pour PDG, M. HOCQ.
Longue vie à Eternamé

Mes activités journalistique mon conduit autour de la colonne Vendôme durant les années 80. Forcé de constater l’émergence d’un style différent, à la fois discret, mais tout en ayant une force indéniable. Charmé, et incontestablement enclin à vouloir comprendre, j’ai découvert une créatrice en herbe, dont sa jeunesse n’altérait nullement la maturité créatrice déjà fort implantée. L’activité professionnelle, si elle n’a qu’un temps, il est difficile de se défaire du plaisir à succomber au beau.

Je fus agréablement surpris, au travers de la presse, de retrouver un style qui m’avait dans le passé déstabilisé. La recherche passée, je ne fus pas long à re découvrir cette même personne, toujours aussi discrète mais au combien talentueuse. Bravo à cette société d’avoir sur si bien s’entourer….

Vous l’aurez donc compris, je n’appartiens à aucune des deux sociétés citées. Néanmoins, je comprends que les journalistes de la presse spécialisées n’aient plus en mémoire les créations de cette personne qui a marqué de son empreinte cette place de renom jusqu’à rencontrer T. F. à l’époque de YSL. C’était de mon époque.

Peut-on un temps se détacher de ce monde, lorsque durant des années, sous ma plume, j’ai pu un temps évoquer les plaisirs de toucher et de voir, des « objets » sensuels ?

Invité lors d’une séance de « shooting », j’ai pu voir un objet d’une force indéniable.

Mais le voir est une chose, le prendre en main et en comprendre son mécanisme transcende bien au-delà de la prime impression. Ce bracelet est magnifique par ses qualités intrinsèques tout autant que par la technicité des éléments rotoïdes conférant une légèreté et une grande souplesse.

Bravo à cette directrice de création….

Dans mon précédent message, j’évoquais la rencontre entre un objet et l’homme.

L’objet en question est aujourd’hui dans la presse ; ce « joyau » se trouve en page 130 du magasine : L’officiel, du mois de décembre et son nom : recto-verso.

 

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Bracelet Recto-Verso en or jaune, émail vert et pavage diamants blancs et diamants bruns. 52000 €

En ces périodes de crise, les prises de conscience sont de « bon ton ». Je vous livre ainsi ma réflexion sur un sujet souvent peu abordé : le manque d’investigation de mes compagnons de la presse spécialisée dans le luxe.

Je ne peux m’empêcher de faire un billet d’humeur sur la dérive de cette presse mercantile qui ignore souvent le créateur, voire la directrice de création. Je ne souhaite nullement m’ériger entre eux et cette « presse » ; ils n’en ont pas besoin. Ils sont bien au-dessus, mais attention tout de même. Ils peuvent du jour au lendemain partir et voilà que le style change, regardez Poiray….

Imaginez demain Eternamé….

Parlons beaucoup des objets, n’oublions pas ceux qui les créent, sans eux, ces objets que nous admirons ne seraient plus.

Bel hommage à la Directrice de création et bravo les bijoux ETERNAME

Détournements créateurs

Détournements créateurs est le répère de la jeune création. The French Factory fait partie des 145 créateurs talentueux à vendre leurs pièces uniques et séries très limitées.

Pour les découvrir, rendez-vous sur www.detournements.com

Ce coup ci, la curiosité n’est pas un vilain défaut. Je me suis laissée guider par le lien, et oh surprise! de jolis accessoires à faire craquer les fashions addicts comme vous et moi.

Micro sélection pour vous Mesdames
Art nouveau
art-nouveau-pierre-rouge
Ernestine
bague-ernestine
Noeud papillon
bracelet-noeud-papillon
Jacinthe
jacinthe
Pretty star
pretty-star
Tricote moi

tricote-moi
Sac brocard
sac-brocard
Les prix sont aussi charmants que les noms d’accessoires. Pas d’inquiétude à avoir. Votre banquier ne vous blacklistera pas.

Jimmy Choo

Qui est Jimmy Choo?

 

Vous avez d’un coté le cordonnier malaisien installé dans un petit atelier ouvrier de l’est de londres. Dans les années 90,  il se fait repéré par la princesse Diana, pour laquelle il façonne des  chaussures de soirée sur mesure. L’homme est un génie naturel.

De l’autre coté, Tamara Mellon, la jeune responsable des accessoires de l’édition britannique de Vogue. Elle lui rend souvent visite pour ses pages modes.

Tamara mellon forme un tandem avec Jimmy choo, chausseur du East end qui fabrique des escarpins extraordinaires pour Lady Diana. L’aventure commence en 1996 : Tamara, dont l’intuition commerciale est infaillible, apporte les idées, Jimmy Choo, le savoir faire.

Les escarpins sophistiqués sont plébiscités par les stars hollywoodiennes : en 2001, elle se sépare de Jimmy choo pour faire cavalier avec pour objectif de faire de Jimmy Choo une marque de luxe globale.

En dix ans seulement, Jimmy choo s’est fait un nom dans l’univers très fermé des chaussures de luxe.

« Où sont mes Choos ?, « tu as vendu ton âme le jour où tu as mis ta première paire de Jimmy Choo » Sex and The City et Le diable s’habille en Prada.

 

Jimmy choo est devenu une marque légendaire.

« Acheter une paire de Jimmy Choo est un acte émotionnel »

Jimmy choo c’est aussi des sacs, des lunettes et bientôt un parfum.

  

Ëtes vous prêtes à « vendre votre âme » pour un de ces « bijoux »?

 

Jérôme Dreyfuss

Franky, billy, diego, Raoul, réné, Robert, Enzo…..rassurez vous, je ne suis pas en train de tromper mon homme. Je parle des sacs, ceux de Jérôme Dreyfuss.

 

 

          

 

Il y en a plus d’une qui paieraient cher pour les caresser, les toucher, les posséder (pas moi, pour le moment, je me contente d’une infidélité virtuelle).

 

Jérôme Dreyfuss les a voulus souples, résistants, évolutifs, équitables.

 

Avant de devenir celui qui fera de nous des fashion addicts infidèles, il s’est fait connaître en tant que styliste, puis en 2003, il s’est lancé dans la création d’accessoires.

 

Billy, le numéro un de nos amours, a connu un vif succès, il est devenu le It bag de toutes les fashionistas.

 

Les sacs de Jérôme Dreyfuss se veulent intelligents, solides, adaptables, doux et écologiques.

 

Pour satisfaire les désirs inavoués des femmes il a su rajouter à certains des poches, même  un miroir bien placé, et il parle même d’éclairer le fond de nos sacs maintenant.

 

Superbe pour une willykean qui est constamment en pleine fouille archéologique dans « sa maison à porter », je parle de mon sac bien sûr.

 

Ses sacs sont pratiquement tous transformables: Franky passe du cabas au sac à main en un clin d’œil, j’adore  j’adore !!!

 

« C’est la praticité qui fait l’esthétisme ». C’est Jérôme qui l’a dit!

Et la qualité des peaux qu’il utilise est primordiale. Jérôme a encore dit : « il faut que son aspect se rapproche plus de la cuisse de ma femme que de celle de ma grand-mère ».

 

Douce mais pas trop, fine mais pas trop, grasse mais pas trop.

 

Tout est fait à la main par des artisans triés sur le volet pour leur savoir-faire.

 

Chaque sac demande en moyenne dix heures de travail et passe entre les mains de six intervenants.

 

Boris, josé, paul, diego, je continue?

 

 

Je vous jure, je sens que je vais être infidèle, mais patience, Il faut que je remplisse ma tirelire…

 

Mais vous, si vous voulez succomber maintenant, rendez vous au 1 rue Jacob à Saint Germain des Prés.

ALEXANDER WANG

 

Stylish, but a bit off

Né à San Francisco, dans une famille d’origine Chinoise, Alexander Wang part pour New York à l’age de 18 ans afin d’entrer à la prestigieuse Parsons Design School. Après des stages au Vogue US, chez Marc Jacobs ou encore Derek Lam et seulement deux ans d’études, il s’imose en deux collections, comme le créateur des filles au genre décalé, qui aime la lode sans donner l’impression d’avoir passé des heures à peaufiner leur look.

Que des sweaters revisités, oversized mais luxueux.

Le soir j’habille les filles en tops de garçon et pantalons baggy, pas forcément en robes à paillettes

Pour trouver ces créations, Voir au Montaigne Market