Souvenir de vacances

Jardin Christian Dior, Tours, Chenonceau

Les vacances sont finies, c’est bientôt les vacances, le temps passe très vite!

J’ai été absente trop longtemps, par conséquent,  je n’ai rien pu partager avec vous depuis.

Pour ne pas y remédier ce matin?

Cet été nous sommes partis de Granville à Tours. Je n’ai plus à vous présenter Granville et la Normandie, Plusieurs de mes articles le font assez bien.

Comme toujours, je ne peux aller à Granville sans visiter le jardin Christian Dior. Cette fois, la déception pointait un peu. Le jardin dégarni, le salon de thé moins attrayant… Une partie du jardin reste cependant toujours aussi beau. Les mariés peuvent continuer à venir y immortaliser leur union.

JARDIN CHRISTIAN dIOR

Pendant le séjour à Granville, j’ai visité le musée de la dentelle de Villedieu les poêles, où le savoir faire des dentellières continue de m’émerveiller. A la sortie, un reposant petit tour à la fontaine.

dentellière villedieu les poeles dentellière fontaine

Puis nous voilà à Tours. Tours et ses environs, avec de nombreuses caves, des villages troglodytes, ses châteaux;;;

Nous avons choisi celui de Chenonceau.

Une merveille avec son histoire, l’histoire de femmes telles que Catherine de Médicis et Diane de Poitiers, qui ont marqué  le début du XVIè siècle.

L’aspect intérieur est fantastique. Ce qui m’intéressa le plus, ce fût les extérieurs, les jardins de Diane et Catherine, le parc immence qui encercle le château… ainsi que quelques curiosités découvertes au cours de notre promenade.

JARDINS ET EXTERIEURS DU CHATEAU
JARDINS ET EXTERIEURS DU CHATEAU

COURGE ENTREE DE CHENONCEAU EXTERIEUR DE CHENONCEAU 1 EXTERIEUR DE CHENONCEAU 2 EXTERIEUR DE CHENONCEAU JARDIN DE DIANE

A Tours toujours, nous avons fait un détour par le bord de la Loire, avant de visiter le village troglodyte reconstitué. Belles images.

L’église au milieu de tout ça? parce que j’aime l’architecture de ces édifices, les vitraux, et la quiétude qui règne dans ces endroits.

BORD DE LA LOIRE BORD DE LA LOIRE BORD DE LA LOIRE2 EGLISE 1 EGLISE EGLISE2 MAISON VEGETALE VILLAGE TROGLODYTTE

San Sebastian

Aller jusqu’à San Sébastian après la promenade en petit train de la Rhune était un pari fou. Nous l’avons fait. C’est vrai, partir de Sainte Eulalie sur Born à cinq heures le matin, déjeuner à 15 h 30 puis faire une petite promenade dans la vieille ville n’était pas gagné d’avance.

Nous n’avons pas été déçus.

San Sébastian est situé à 20 km de la frontière.  Une ville historique avec une architecture très riche et variée. La réligion occupe une grande place au pays basque espagnol. J’aurais pu assister à une messe si je l’avais voulu. Les touristes aussi bien que les habitants de San Sebastian viennent à la messe de 17 heures comme on flâne à la Place des Tertres. Par pudeur, je n’ai fait aucune photo.

Et c’était tant mieux pour mes compagnons de route. Comme vous le savez, je suis inmanquablement attirée par les églises. Dans la suivante, il a fallu qu’on viennent me déloger…

Mais je vous assure, pour le peu que nous avons vu, faute de temps, je vous défends de faire l’impasse sur San Sébastian si vous allez allez pas au pays basque.

Empruntez la Puente Kursaal

Passez par la Plaza de la Constitucion

Le hasard nous a conduit à la calie Nagusia. Levez la tête comme moi et vous verrez ces grappes de piments accrochées au balcon de cette maison.

Une rue très vivante

Lucy devant son épicerie

Au bout de cette rue, il y a cette église. Fabuleuse. Entrez et vous verrez c’est époustouflant!

C’est la première fois que je vois la représentation de Jésus que l’on descend de la croix.

Un détour par le port avant de reprendre la route: face à vous une île avec au sommet de la montagne, cette magnifique statue. Ne me demandez pas le nom du Saint. Il est enfoui dans un coin de ma mémoire d’où il sortira peut être un jour.

Si l’un de vous le sait, je serais très heureuse de rééditer mon récit avec plus de précision.

Bone voyage. J’espère vous avoir donné envie d’y aller.

Eglises, « ambassadeurs » et fidèles!

Ce soir je parle d’Eglises.

Voilà bientôt un an que je tourne autour du pot. Je veux parler des scouts mais je remets à demain. Je veux parler d’église et je parle de chaussures. Pourtant parler d’Eglise m’importe énormément.

Ce n’est pas pour polémiquer, je passe mon tour: il y a déjà assez de blogs qui en parlent, plus ou moins bien.

Je veux parler d’Eglises comme je le fais pour les créateurs, les couturiers, les designers… Je ne veux pas me prendre au sérieux et fustiger l’église, seulement partager mon réssenti vis à vis de certaines églises.

Je ne vais plus beaucoup à l’église pour prier. Je le fais chez moi, c’est plus détendu. Je suis restée chrétienne, peu pratiquante mais je garde la foi. Pas suffisant pour certains. Pour moi ça compte.

Je veux rester une chrétienne libre. Ma culture religieuse est très libérale. Alors que aucune femme n’était autorisée à seconder le curé pour la communion, chez moi cela se faisait déjà, dans les années 70.

C’étaient les années où l’on s’engageait, filles et garçons, à servir l’Eglise sans être curé, religieuse ou pasteur…

J’ai souhaité entrer dans les ordres. Un projet échoué.

Mais assez imprégnée de mon éducation réligieuse pour aimer aller vers les autres, partager, me mettre au service des autres. Mais je veux rester libre.

Or de nos jours, la religion n’est plus ce qu’elle était.

Les Eglises sont devenues un carcan pour les fidèles. Je ne veux pas généraliser. Disons certaines Eglises.

Ces églises qui en 2010 reviennent en arrière et entravant notre liberté, ma liberté. Tout comme je dis que je suis une citoyenne du monde, je suis une chrétienne libre.

Je mets ce que je veux, je marche comme je veux, je m’assoie près de mon époux à l’église et je prie sans me couvrir la tête.

Pourquoi ce coup de gueule contre certaines églises?

Parce qu’elles ont tendances à enfermer les fidèles et surtout les femmes.

Premier constat. En 2007, je pars en vacances. Six heures de vols avec escale à Casablanca. Arrivée à 3 heures du matin à Abidjan. Je suis un peu « sonnée ». décalage horaire, grosse chaleurs….

Les retrouvailles avec mon amie qui m’héberge sont assez intenses. Sept ans sans se voir. Une demie nuit blanche passée à discuter. Nous nous couchons enfin. mais à 7 heures, la maisonnée commence à se réveiller. Pourquoi?

On se prépare pour aller à l’église. C’est l’assomption. Il ne faut pas râter ça.

Je n’ai pas très envie mais je veux faire plaisir à mon amie. Là où l’envie a failli me quitter c’est au moment de choisir les vêtements.

Un débardeur?

Non, trop sexy. Pas bon pour les dames. A peine toléré pour les jeunes filles.

Un top transparent, il fait trop chaud

Non, trop choquant pour l’assemblée

Une jupe courte?

Il ne faut pas montrer ses cuisses, ça pourrait blesser la susceptibilité de mes « frères en christ ».

A la fin j’ai dit, écoute, je m’habille comme je veux et s’il ne sont pas contents qu’ils viennent me le dire.

Nous avons fini par trouver un compromis: Un foulard sur les épaules, pour « être réligieusement correcte ».

A l’église, il y a des « surveillants », malgré la très belle chorale, je n’étais pas très à l’aise.

Bref. Je n’aime plus aller à l’église pour ne choquer personne avec mes accoutrements. Et pour rester libre.

Cela ne  m’a pas empêcher de le remettre le couvert de retour en France. C’est la fête de la moisson dans l’eglise où prie ma soeur. Là bas c’est pire. J’ai commis l’erreur d’y emmener mon mari. Nous avons été accueillis par la musique, relayée par les enceintes, à 10 mètres du temple.

Aïe les oreilles. Une fois à l’église, ma soeur se fait remonter les bretelles parce qu’elle a oublié de me recomander un foulard sur la tête. Pas de vêtement noir, ni de rouge, ni de chaussure dans le temple. L’entrée est partagée. Les femmes à gauche, les hommes à droite. Peut être est ce ainsi que dieu ou jésus l’aurait voulu? Aucune idée.

TOut ce que je peux dire, c’est que j’en avais dessus lourd sur le couer avant d’avoir commencé et à la tête de mon mari, j’ai compris que le manège risquait de ne pas durer longtemps.

Je n’avais pas tort.

5 Minute après avoir été orienté vers son siège, il s’est levé, s’est dirigé vers la porte pour remettre ses souliers et m’a dit

Je repars en voiture. Si tu n’es pas là dans 5 minutes, tu prends le train.

Pour une fois, j’ai « obéit » aux ordres de Monsieur.

La photo? J’étais méconnaissable. Si je la retrouve ce soire, vous aurez la chance de l’avoir ici.

Les églises des hommes de lois et d’interdits, ce n’est pas pour moi!

Et vous? Etes vous peiux ou pas?

Les Eglises et leurs secondes vies

Fini le temps où nous chantions « Allez vous en sur les places et sur les parvis… y chercher mes amis…. Tous mes enfants de lumière, qui vivent dans la nuit, tous les enfants de mon Père…. »

Nous allons de moins en moins à l’Eglise ou pas du tout même. Certaines, prises à la gorge par la crise de fidèles et la crise tout court, ont donné une seconde vie à leurs églises.

A Maastricht, le monastère a été racheté par le groupe hôtelier Camille Oostwegel et transformé en un cinq-toiles. Le Kruisherenhotel propose 60 chambres, de 275 à 380 euros la nuit.

image, Capital

A Nantes, une ancienne chapelle a été transformée en restaurant gastronomique: Les Petits Saints.

image, http://www.lespetitssaints.com/

Mieux encore, une ex chapelle a été transformée en logement de luxe: 3500 euros le mètre carré.

image, http://www.20minutes.fr

Et enfin, il ne vous reste qu’à passer la frontière jusqu’à Milan, pour danser jusqu’au matin dans la discothèque San Giuseppe Della Pace. Si ce n’est pour y prendre un café dans la journée ou assister à un défilé de mode.

image, http://annablog-annablog.blogspot.com

Les Dieux vont tomber sur la tête!!!

T’as pas ton GPS? Je cherche mon parking

Nous étions perdus donc. Le GPS  naturel  de Monsieur était en panne. Pour commencer, nous tentons de refaire le chemin dans le sens inverse en suivant Cadet Roussel. Sans succès. L’église et la cathédrale qui auraient pu nous servir de repère n’ont fait que nous embrouiller. Le problème à Auxerre, c’est qu’il y a plusieurs églises, concentrées dans la même zone. Alors, même avec le nom de l’église, impossible de vous retrouver si vous ne demandez pas votre chemin à quelqu’un. Et de loin, ce n’était pas la meilleure façon de retrouver notre chemin. Parce que lorsque nous apercevions une église, nous marchions vers cette église et ce n’était malheureusement pas la bonne. Au centre ville, il y avait au moins 4 églises. Vous comprenez?

Alors nous avons tourné, marché, fait plusieurs tours; ce fût une belle promenade, sous la pluie. A la fin, nous avons refait le chemin comme à l’arrivée. C’est à dire redescendre jusque à l’endroit où nous entrons dans la ville pour aller au parking et là, oh miracle!

« C’est ici que nous avons laissé traverser la mamie! »

« Oh je reconnais cet endroit, nous sommes passés devant tout à l’heure! »

 » Je me souviens de ce restaurant…. »

Nous avons fini par retrouver notre parking, près de l’église Sainte Madeleine.

Ouf. Enfin dans la voiture, au chaud, parce que je commençais à me geler les doigts.

Là où le GPS devient la star, c’est en rentrant de notre périple; chez ma nièce. Partis à 14 heures trente pour nous aérer, nous sommes rentrés à 19 h. Une fois notre mésasenture racontée, nous avons eu droit à la même question de la part de tout le monde, d’abord avec les enfants, puis les adultes s’y sont mis  aussi.

Elodie en premier m’a demandé l’air convaincue:

« vous n’aviez pas votre GPS? » ensuite Coralie a poursuivi:

 » Et le GPS? »

Ma nièce aussi, avant que la question de GPS ne me soit posée trente six fois, j’ai donné la réponse collective.

« Nous étions à pied, pardi, pas en voiture, comment voulez vous que je me réfère à mon GPS? »

Là c’en était trop du GPS. Nous nous moquons souvent de ma fille Coralie, qui est assez rêveuse et distraite. Souvent complètement « zappé ». Nous ne cessons de lui demander si elle ne serait pas « blonde » par hasard.

Eh bien, samedi, j’ai eu l’impression d’avoir une foule de blondes face à moi. Ils s’évertuaient tous à me demander si je n’avais pas mon GPS alors que je raconte comment nous étions perdus, à pied, dans Auxerre.

Ces  petits appareils là ont, je crois tendance à devenir des Facebook, Myspace, Beboo ou que sais je encore? Les gens sont tellement accros qu’ils ne font plus la différence entre la circulation en voiture ou à pied.

Le devoir m’appelle, le récit de la fête, c’est pour ce soir.

Bonne journée!

T’as pas ton GPS? Je cherche mon parking

Un anniversaise à Auxerre et beaucoup de gags.

Voilà, chez moi, je veux dire dans ma famille, on aime compliquer les choses, ou peut être tout simplement pimenter la vie. Quand on en a assez de fêter son anniversaire à Paris, on décide de l’organiser à Auxerre. Jusqu’ici tou va bien. Sauf que c’est le dernier week-end avant la rentrée des classes pour notre zone et que j’ai des collègiens, sauf que la météo a annoncé  un week end pluvieux et que la veille je m’étais couchée à 2 heures du matin.

Les GPS? j’adore les GPS! je devais en parler depuis un moment déjà mais je ne savais par quel bout commencer. Mais hier, les événements ont fait qu’il fallait introduire le phénomène GPS; mon article à propos des GPS ne sera pas pour aujourdh’ui, mais vous aller voir combien les gens peuvent être conditionnés par les gadgets tels que le GPS.

Hier donc, nous nous rendons à Auxerre pour l’anniversaire de ma soeur. La circulation est fluide, le GPS nous aime bien, beaucoup même contrairement à son habitude. Il marche dès le premier coup. Nous arrivons au pavillon de ma nièce sans encombre. Les retrouvailles, les préparatifs, Mais il crachouille, le pavillon commence à se remplir d’enfants, d’adultes, l’ambiance y est. Mais l’envie de sortir me taraude, Vous savez, je suis ce que je suis. J’aime visiter, sortir, découvrir.

Après dix minutes de pourparler, je convaincs Monsieur de faire un tour. Ma nièce suggère que son mari nous accompagne.

Nous refusons poliment sa proposition.

« oh, ne vous inquiétez pa, nous avons le GPS. S’il nous a conduit de Paris à ici, il nous guidera bien à Auxerre aussi. »

Une fois en ville, nous trouvons très vite un parking près d’une vieille Eglise, L’église Sainte Madeleine. Je décide d’y entrer. J’aime les Eglises, j’entraine mon mari à l’intérieur. Elle est en ruine. Quel dommage, les tableaux sont en lambeaux, parfois coupés au cutter. Les vitraux ne sont pas d’une richesse particulière. Nous ressortons très vite pour en chercher une autre.

Très sûrs de nous et de notre GPS, nous n’avons pas trouvé utile de noter ni le nom de la rue, ni le parking où nous sommes garés. Et nous allons un peu plus loin, voir la Cathédrale Saint Germain. Devant la cathédrale, un groupe avec une fille à genoux, interrogée par ses amis. Il s’agit certainement d’un enterrement de vie de jeune fille. Je me suis approchée pour faire des photos puis je me suis ravivée. Sur sa tête était accroché un sexe en plastique rose. Rien de choquant pour moi mais qu’en penseraient certains?

Façade avant de la cathédrale

cathedrale-saint-germain

A l’intérieur, de très jolis vitraux comme je les aime.

vitraux

vitraux-1

vitraux-2

vitraux-3

Levez la tête et vous verrez ces grandes vôutes décorées elles aussi.

voute

J’étais comblée. J’ignore pourquoi mais j’adore visiter les églises et les cathédrales. Pas Vous?

Nous sortons de la cathédrale et notre promenade nous emmène vers le centre ville. Nous flanons dans les rues piétonnes. Au bout de dix minutes, je remarque une chose étrange. l’éffigie d’un personnage sans doute important, comme je suis curieuse, je demande à mon mari de suivre les traces de ce personnage et vous verrez la suite est pleine de surprises.

Suivez le et vous aurez la suite de mon récit. Ce personnage, c’est Cadet Roussel, un des personnages les plus révolutionnaires de la république.

cadet-roussel cadet-roussel-1

Moi je l’ai suivi. et vous allez voir ce que j’ai trouvé en le pistant.

 

 

Le week end presque idéal!

Je vous l’avais dit: que mon week end idéal commencerait par le salon Ohipa’Shop avec l’exposition TOP’NGUM  de Amylee.

Vendredi donc, le dernier courrier mis sous plis et un tour rapide par la poste, je cours me changer pour revenir sur Paris. Une heure d’aller-retour plus tard, j’étais au rendez vous. Parmi les premiers arrivés, j’ai eu le temps de bavarder avec Amylee, et d’admirer ses oeuvres

J’ai craqué pour Marie Antoinette  et oui. Ensuite j’ai rencontré cette jeune modiste qui réalise de si jolis coiffes qui donneront un « cachet » à nos tenues… Mino Delavictoire et là aussi je n’ai pas pu résister à la tentation de m’offrir ce joli bibi avec lequel elle a pris la pose.

Une heure de bonheur à tourner au milieu des portants de vêtements,  d’objets de décoration… Puis je m’en suis retournée chez moi toute légère..

Le lendemain, pas de sortie, un peu fatiguée par la journée continue de la veille. Le Dimanche donc, c’était journée spirituelle à Drancy à L’autel de Vie (une église) où j’ai passé deux heures en compagnies des fidèles que je ne connaissais pas.

Si je vous dis que ça été un week end presque idéal, c’est juste pour le diner qui n’a pas eu lieu au Wesminster (mais ça, ça reste virtuel pour l’instant)

Le hasard m’a conduite à Drancy. Cela représente beaucoup. Je planifiais d’aller à Drancy voir le mémorial érigé pour les raflés du Vel div qui ont transité là.

Cet endroit est devenu une cité pour logements à loyer modéré, mais un monument a été dressé  à l’entrée en souvenir de tous ceux qui ont péri là, tous ces enfants….

Je serais passée à côté sans faire attention si ma soeur ne m’avait pas dit : « regarde, c’est ici qu’ils ont été parqués »

L’arrêt du bus, était pile en face. Place de la révolution. Je suis descendue et j’ai pris des photos avant d’aller prier.

Enfin de compte mon week end était idéal.

Je suis rentrée chez moi retrouver ma petite famille avec le repas concocté par mon cher époux-idéal-spécialiste du jambon banane sauce béchamel.