Comment WILLYKEAN est devenu un site de Placo

Le comble.

Je suis devenue WILLYKEAN, un site sorcier.

Dire qu’il y a des gens sur les net qui passe leur temps à dupliquer les contenus de blog ou à détourner les articles.

Cet après midi, je viens de découvrir encore une fois que désormais je brico. Je suis devenue artisan dans la pose de placo.

Si Monsieur Placo me lit et m’entend, je lui demande gentillement de retirer le lien qu’il a fait vers mon blog, mieux d’arrêter d’utiliser mes articles sur son site. Surtout la vidéo que j’ai réalisée pour ADAMENCE.

 http://placo.sorcier.info/baguette–plan-de-travail.html#

Arretez parce que une vidéo réalisée pour une joaillerie n’a rien à voir sur votre site, aucun de mes article d’ailleurs.

Si vous désirez augmenter votre PR, ce n’est pas la bonne façon de procéder. Arrêtez avant que je ne signale le manège à Google.

Merci.

Bloguer protégée: et ça continue!

Harcèlement virtuel

A croire que c’est par cycle. Oui. En mars 2009, une menace de poursuites judiciaires, pour avoir autorisé un commentaire contenant un nom « célèbre »?

Février 2010: harcèlement virtuel.

Tout a commencé un soir. Je décide d’écrire un article sur les illustratrices. j’aime leur travail et je veux partager cet engouement avec mes lecteurs. Tout va bien juqu’au moment où je décide d’en ajouter une. Je prends la peine d’envoyer un mail. Au cas où elle ne serait pas d’accord pour paraître sur mon blog. Après plusieurs échanges de mails, nous passons à la communication téléphonique.

Je suis ravie, elle a l’air sympatique. Elle approuve ma démarche. L’article est publié. Deux jours passent. Et là les problèmes commencent.

Elle m’écrit afin que je supprime mon portrait, celui en médaillon sur mon blog? Puis, elle me demande de le déplacer vers le bas, afin qu’il ne soit pas à la même hauteur que le titre de l’article.

Et que je supprime mon nom du  titre parce que ses clients célèbres penseront que je suis l’auteur des illustrations et non elle.

Bref, de mail en mail et de messages instantanés en messages instantanés. Elle finit par  se convaincre que c’était OK et que l’article pouvait rester comme il était.

Une semaine passe, j’ai même droit à un mail « Happy valentine ». Mais je vais vite déchanter parce que ma « Valentine » va bientôt se transformer en enragée de « basic instinct ».

Un nouveau mail me demande de supprimer l’article? parce qu’il nuit à sa notoriété. Parce que ses clients vont tous partir voir ailleurs. Puis elle finit par m’accuser de faire de la pub « indécente » sur mon blog.

En parlant de publicité, j’ai finit par m’abonner au « NO ADS » de wordpress. Je vous expliquerai pourquoi une autre fois.

Alors, c’est trop. Plus que je ne peux supporter. Je supprime l’article. Terminé, on en parle plus.

Et là ma basic instinct girl revient pour me demander de le remettre, en attendant qu’elle reçoive son client « imaginaire », qui paraît il irait la googler avant de signer.

Là je dis : râter my dear, parce que l’article est définitely cancelled. A nouveau les menaces:

– Je vais vous poursuivre, je vais prendre des mesures, il faut supprimer l’article de votre blog hellocotton, de Keegy, de wordpress, de… what else?

Je ne pouvais plus ouvrir mon ordinateur sans que mademoiselle ne Popup  sur mon écran.

-Je ne veux pas de votre nom sous le mien, je ne veux pas de votre photo sous mon nom. Le tout traduit bien évidemment.

Et sur  les conseils de Ma Sublime amie, j’ai récupéré tous les mails échangés, sauvegardés bien à l’abri au cas où avant de faire un simili transfert de blog. Le contenu est donc bien protégé dans les archives en cas d’attaque.

J’ai tout simplement compris la surpercherie de Mademoiselle  lorsque, par mégarde, elle m’a écrit:

-c’était, pire avant mais depuis votre article, je perds des clients.

 Alors je me suis dit, Ma belle, tu ne feras pas ton blé sur mon dos.

Après tout, si elle était si réputée et si célèbre, on le saurait sur le  web. Et puis un article posté à la mi février ne lui aurait pas  causé autant de tort comme elle le prétend.

Je ne citerais pas cette personne ici.

Mais sachez qu’il faut bloguer protégée. Même pour nous les blogueuses non professionnelles.

Depuis que son mail est coché indésirable et bloqué, je peux dormir tranquille, pour l’instant!

Second Life: une chance que je n’ai pas eu!

A l’heure où les blogs, Twitter, Myspace, Hi5, facebook phagocytent nos vies, que google is watching, serait-il dramatique de ne pas habiter Second life?

En tout cas ce n’est pas faute d’avoir essayé.

Il est permis à tout le monde de rêver. A force d’entendre parler de Second Life et de son pouvoir à donner une seconde vie à qui le souhaite, je me suis lancée. Qui ne rêverait pas de devenir millionnaire ou célèbre dans sa prochaine deuxième vie?

C’est gratuit, n’importe qui peut créer une vie virtuelle de rêve….  Du moins c’est ce que l’on nous a fait miroiter. Tout comme les merveilleux cadeaux qu’il faut souvent aller chercher dans les magasins. Pour un stylo à rapporter chez vous, on essaie de vous vendre une armoire ou un canapé.

J’ai essayé, deux fois de me faire une nouvelle vie plus glamour dans Second Life: toujours sans domicile fixe. Eh oui, même dans ce monde virtuel, tout est à monayer. L’inscription est gratuite, vous réalisez ensuite qu’il faut acheter son terrain, les matériaux pour y construire sa maison, les vêtements pour ne pas vous faire arrêter pour atteinte à la pudeur, comme dans la vraie vie!

Moi qui voulais créer ma maison de couture… Ce n’est pas pour demain. Je préfère garder mes euros pour l’instant, dans mon mur à cracher de l’argent et mener une vie réelle et paisible ou agitée, à moins qu’un riche propriétaire de ce merveilleux pays ne daigne m’héberger et me donner un coup de pouce.

J’ai donc visité Second life où, jusqu’à aujourd’hui, je reste une sans domicile fixe et même interdite de séjour, sans papier si vous préférez. Une fois inscrite, j’avais perdu mon mot de passe et même la réponse à donner en cas de changement du dit mot de passe. Depuis, ma présence est indésirable sur cette planète et je continue tout de même de recevoir des invitations à des soirées VIP, sans doute des clubs de naturisme. Je n’ai pas eu le temps de m’acheter un seul vêtement avant d’être interdite de séjour…

C’est super non! Inconnue à l’adresse indiquée mais repertoriée dans la bible VIP de Second Life. La chance!

Tout compte fait,  mon ancien futur eldorado ne me manque pas. J’aime les rasta pasta, je plane virtuellement avec des spaghettis au chanvre mais je déteste jouer à la libellule!

Et vous, Second Life ou pas?

Ma vie sans les blogs

Les non « initiés » ne cessent de nous demander ce qui nous a amenés à bloguer…

Je pose la question à l’envers et je vais essayer plutôt d’imaginer ma vie sans blog.

Pour une mère de famille qui a organisé le temps de connection pour ses enfants, il serait peut être grand temps de penser à mettre un régulateur de connection pour moi même.

Cependant, est-ce que je le désire vraiment? Je ne le pense pas. Il est vrai que l’on se laisse facilement prendre au piège d’internet, des blogs et d’autres communautés sociales. Mais ma liberté à moi passe aussi par la possibilité de papilloner dans la blogosphère sans contrainte et sans limite.

J’aime bloguer. Si un jour on me suprimait mes différents accès, ma vie en serait boulervée; j’ignore à quel point.

Il me manquerait mon petit voyage virtuel du matin:

Foncer sur l’ordinateur pour l’allumer avant même de passer à la douche.

Taper mon mot de passe avant d’avaler mon bol de lait au thé

Oublier parfois mon pain dans le grille pain.

Je ne brûlerai pas de temps à autre mes escalopes de dinde;

Il suffit de voir comment je réagis dès que quelque chose ne tourne pas rond sur un de mes blogs. Je me transforme dans ces cas en une redoutable « assistante de célébrité » prête à tout pour débloquer la situation.

Ce sont mes « bébés » et les avoir, surfer d’un blog à l’autre, visiter tous mes blogs, vérifier les statistiques le matin avant de partir travailler me procure un réel plaisir. C’en est devenu un rituel.

Bloguer libère ma plume. Oui j’ai toujours rêvé d’écrire. Plein d’ébauches de manuscrits, des dizaines de synopsis…. Mais qui dorment dans mes tiroirs par manque de confiance en moi.

D’où l’intérêt des blogs; Grâce au blogs, je me sens « écrivain ». Je ressors mes histoires par petits bouts, je partage, ce que je n’aurais pas pu faire sans les blogs.

Totalement digitale, profondement blogueuse, je veux que l’on me laisse me trouver mes propres rémèdes. Arrêter de bloguer ne serait sans doute plus possible. Perdre mon intérêt initial pour un blog ou disons pour la platform qui m’héberge….

Dans ce cas, je déménage pour un « monde meilleur ».

Je n’ose imaginer ce que serait ma vie désormais sans ce moyen de communication. Un autre hobbie sans doute, mais dans lequel je m’investirais tout autant.

Sans les blogs, je jouerais peut être au scrabble avec mon époux; mais franchement je n’étais pas une inconditionnelle du scrabble non plus;

Je resterais près de lui, sur le canapé à regarder dans la même direction… Mais j’ai la bougeotte, et les blogs me permettent de voyager dans ma tête.

Il n’y a pas de demie mesure chez moi: JE SUIS CE QUE JE SUIS

Une passionnée d’écriture, de mode, de tout…

Et vous, que serait votre vie sans les blogs?