
Baccarat pour vous et votre intérieur

Blog mode qui ne parle pas que de mode
In my Louboutin
Tout le monde ne pousse pas la chansonnette comme Jennyfer Lopez ; c’est vrai! Mais honnêtement, qui n’a jamais essayé le matin, devant son miroir?
Nous serions toutes des Jennifer avec des Louboutin aux pieds!
Le rêve pour certaines s’arrêterait à la vision de l’objet fétiche sur écran ou à travers une vitrine. Mais là, à l’heure où je vous écris cette note, Christian Louboutin est désormais à la portée de toutes.
Christian Louboutin s’est démocratisé. Le luxe devient accessible à toutes les Jennifer.
Comment?
Eh bien, depuis la crise, le pouvoir d’achat a considérablement baissé, le luxe a investi le web; les boutiques en ligne ont étudié des prix en fonction des charges réelles.
Alors, même si vous chantez comme une casserole, avoir des Christian Louboutin n’est plus seulement un rêve. Il peut devenir réalité. Les prix défient vraiment toute concurrence.
La lingerie est-elle partie intégrante de notre garde robe ou juste un atout pour rehausser notre sensualité ?
Choisir la lingerie n’est pas aussi facile que l’on pourrait croire et à ce niveau là, les femmes n’ont apparemment pas les mêmes critères que les hommes. Le plus difficile, c’est de choisir entre confort et sensualité.
La sensualité devrait primer sur le confort. Plutôt choisir une lingerie sexy et confortable. C’est comme pour les chaussures à talons.
La lingerie est crée pour faire rêver, pour séduire. Elle doit épouser les courbes de la femme.
L’association de lingerie sexy sur une paire de Stiletto suffirait à rendre une femme irrésistible.
Dans votre panoplie de séductrice, le négligé est premier sur la liste. Pour la matière, privilégiez la soie, pour sa douceur. En rouge ou noir.
Puis le string. Ou la lingerie en dentelle, rouge de préférence.
Messieurs, pour faire la surprise à vos épouses, la lingerie de Pascal Morabito sera parfaite. Et vous Mesdames, rien ne vous empêche de vous offrir de la lingerie!!
La Québécoise Mariouche Gagné redonne vie à tous nos anciens vêtements. Si la tendance est à less is better ou green fashion, mode équitable, alors notre Québécoise en est l’archétype!
Son principe, c’est de couper, façonner, transformer accessoires et vêtements anciens en pièces uniques et stylées. Mariouche Gagné est une créatrice responsable. Depuis 1994, elle a recyclé plus de 56000 manteaux de fourrure.
Mariouche s’est fait connaître en participant au concours de stylisme organisé par le Conseil Canadien de la Fourrure. Manquant de fourrure pour terminer sa mini collection, elle coupe le manteau de sa mère et arrive deuxième devant un jury conquis.
Son idée est lancée. Des foulards Hermès transformés en petits hauts sexy, des robes de mariée retaillées. Certaines de ses collaboratrices sont dévolues à la recherche de fourrures dans les Emmaüs ou les vide-greniers.
Une boutique parisienne est en gestation si ce n’est déjà fait.
Vider son grenier c’est bien, recycler c’est encore mieux!
Le luxe ne cessera de nous faire rêver. Acheter moins, acheter bien. Ou admirer tout simplement. Les accessoires restent encore aujourd’hui les éléments clés d’une toilette, même la plus simple, la plus modeste s’illumine dès lors que vous y associez un bijoux, des chaussures ou un sac à main bien choisi.
Un rien qui change votre allure. Il est inutile de remplir son armoire de vêtements ou d’accessoires à prix abordables. Parfois il faut savoir être sélectif. Avoir peu mais de qualité exceptionnelle.
Inutile non plus de tergiverser. Voici une sélection qui ne vous laissera pas indifférent(es)
En version sauvage et sophistiquée
Sac boîte en bois orné d’une maille en cristaux, Devi Kroell. Bague « Shine en bois d’amourette, diamants et or jaune, Eternamé. Escarpin en cuir beige et marron, Prada.
En version « gliters »
Bagues »JM » en or rose et agate rouge, Léon Hatot. Bague « Cactus » du coffret de Victoire en grenat entourée de chrysoprases,spinelles et saphirs roses, Dior Joaillerie.
Bracelet en argent, ambre et corail, Bottega Veneta.
Bracelet Burberry Prorsum, Bracelets « Skyla » en python, Jimmy Choo, Bracelet en ébène et diamants, Eternamé. Sandales en cuir ajouré, Azzedine Alaia.
Bracelet serpent articulé en or serti d’olivines, année 40, Codognato. Sandales à plate-forme en python métallisé, Gucci.
Le rêve est permis. A défaut de les avoir dans vos dressings, admirer les! Le rêve est démocratique!
Mondialisation, uniformisation. Nous essayons pour la plupart d’être clone de quelqu’un d’autre.
Pour celle qui veulent se démarquer, celles qui ont pour seul désir l’exception, voici quelques accessoires: ils sont rares et précieux, et expriment des envies plus pointus. Scintillants, architecturés, sculpturaux, ethniques ou classiques, ces accessoires d’exception dessinent les nouveaux remparts d’une ultime sophistication urbaine.
Boots « cage » en cuir verni noir, Yves Saint Laurent.
Bottine en cuir rebrodé de strass swarovski, Balmain
Sandales compensées en raphia brodé de cauris, Azzedine Alaia
Minaudière en métal doré gravé et fermoir coeur en strass swarovski, Versace
Sandales compensées sculpturales en miroir rouge à multiples lanières et dessus trnsparent, John Galliano
Sandales à plateau galuchat imprimé animalier et talon statuette façon ivoire, Dior
Merci Duménil de m’avoir fait profiter de l’information. Ma proactivité habituellement n’a pas fonctionné pour cette nouvelle. Et j’ai attendu d’avoir le magazine en main pour répondre à votre commentaire.
Commentaire, qui au lieu de faire un nouveau sujet sur ETERNAME, cette marque de luxe dont je suis amoureuse, sera une reprise de vos différentes interventions sur mon blog.
Voilà l’objet précieux est là, parmi tant d’autres.
Comme disait Dumenil dans ses commentaires sur le dernier sujet à propos des bijoux Eternamé,
Effectivement les modèles sont magnifiques, inspiration d’une directrice de création connue sur la place de Paris pour avoir marqué de son empreinte les boutiques de la place Vendôme, plus particulièrement dans les années 80 à 90, une marque de prestige dont la première lettre est un P avec pour PDG, M. HOCQ.
Longue vie à Eternamé
Mes activités journalistique mon conduit autour de la colonne Vendôme durant les années 80. Forcé de constater l’émergence d’un style différent, à la fois discret, mais tout en ayant une force indéniable. Charmé, et incontestablement enclin à vouloir comprendre, j’ai découvert une créatrice en herbe, dont sa jeunesse n’altérait nullement la maturité créatrice déjà fort implantée. L’activité professionnelle, si elle n’a qu’un temps, il est difficile de se défaire du plaisir à succomber au beau.
Je fus agréablement surpris, au travers de la presse, de retrouver un style qui m’avait dans le passé déstabilisé. La recherche passée, je ne fus pas long à re découvrir cette même personne, toujours aussi discrète mais au combien talentueuse. Bravo à cette société d’avoir sur si bien s’entourer….
Vous l’aurez donc compris, je n’appartiens à aucune des deux sociétés citées. Néanmoins, je comprends que les journalistes de la presse spécialisées n’aient plus en mémoire les créations de cette personne qui a marqué de son empreinte cette place de renom jusqu’à rencontrer T. F. à l’époque de YSL. C’était de mon époque.
Peut-on un temps se détacher de ce monde, lorsque durant des années, sous ma plume, j’ai pu un temps évoquer les plaisirs de toucher et de voir, des « objets » sensuels ?
Invité lors d’une séance de « shooting », j’ai pu voir un objet d’une force indéniable.
Mais le voir est une chose, le prendre en main et en comprendre son mécanisme transcende bien au-delà de la prime impression. Ce bracelet est magnifique par ses qualités intrinsèques tout autant que par la technicité des éléments rotoïdes conférant une légèreté et une grande souplesse.
Bravo à cette directrice de création….
Dans mon précédent message, j’évoquais la rencontre entre un objet et l’homme.
L’objet en question est aujourd’hui dans la presse ; ce « joyau » se trouve en page 130 du magasine : L’officiel, du mois de décembre et son nom : recto-verso.
Bracelet Recto-Verso en or jaune, émail vert et pavage diamants blancs et diamants bruns. 52000 €
En ces périodes de crise, les prises de conscience sont de « bon ton ». Je vous livre ainsi ma réflexion sur un sujet souvent peu abordé : le manque d’investigation de mes compagnons de la presse spécialisée dans le luxe.
Je ne peux m’empêcher de faire un billet d’humeur sur la dérive de cette presse mercantile qui ignore souvent le créateur, voire la directrice de création. Je ne souhaite nullement m’ériger entre eux et cette « presse » ; ils n’en ont pas besoin. Ils sont bien au-dessus, mais attention tout de même. Ils peuvent du jour au lendemain partir et voilà que le style change, regardez Poiray….
Imaginez demain Eternamé….
Parlons beaucoup des objets, n’oublions pas ceux qui les créent, sans eux, ces objets que nous admirons ne seraient plus.
Bel hommage à la Directrice de création et bravo les bijoux ETERNAME