Voilà bien un an que je n’ai pas mangé chez Caroline et Charbel. QUe je n’ai pas mangé libanais et discuté autour d’un thé avec mes amis.
L’année dernière, je travaillais dans la même rue en face. Je m’attablais régulièrement dans ce petit restaurant libanais familiale, pour déguster les bonnes patisseries de la grand mère, et savourer un thé à la menthe en discutant avec Charbel.
Un moment pour décompresser avant de rentrer chez moi. J’aimais aller là parce que je m’y sentais bien. C’était comme chez moi. Venir là c’était comme me retrouver au pays.
Le Mac Bouf est un bon petit restaurant sympathique, accueillant. C’est la cantine où il faut aller. Selon Marco, un habitué comme moi, il est préférable de choisir l’assiette pixte: viande, chawarma, poulet, mezzés.
Le Liban, c’est depuis le pays. Nous avons commencé par apprécier le Chawarma, puis le Fataya, puis les falafels…
Chez Charbel et Caroline, je prenais souvent une assiette de kébé avec quelques feuilles de salade, et deux feuilletés aux épinards, ne me demandez pas le nom. Je ne saurais vous le dire. C’est Charbel qui me fait réviser au moment de prendre ma commande. Je me sens bien ici. C’est comme chez moi. Venir là c’est comme me retrouver au pays.
Le liban, c’est depuis le pays. Nous avons commencer par apprécier le Chawarma, puis, le fataya, puis, les falafel, ou une brochette de poulet mariné au citron.
Et j’avais le privilège de tester les nouveaux desserts.
La saveur ne s’oublie pas. Le plaisir des yeux n’est pas en reste.
Mon dessert préféré: c’est deux délices. On m’a mainte fois dit le nom mais je retiens à peine. Sans doute que à ce moment là, sous l’emprise du dessert, je n’ai plus d’oreille.
Une sorte de mini crêpe garnie de fromage blanc et confiture de rose, qui repose sur un « ruisseau » de miel.
Un vrai régal!
Pour celle qui ne connaissent pas le kébé, c’est à base de blé concassé avec de la viande hachée aux oignons, pignonset épices. Il peut se manger comme du tartare ou doré au four.