Franky, billy, diego, Raoul, réné, Robert, Enzo…..rassurez vous, je ne suis pas en train de tromper mon homme. Je parle des sacs, ceux de Jérôme Dreyfuss.


Il y en a plus d’une qui paieraient cher pour les caresser, les toucher, les posséder (pas moi, pour le moment, je me contente d’une infidélité virtuelle).
Jérôme Dreyfuss les a voulus souples, résistants, évolutifs, équitables.
Avant de devenir celui qui fera de nous des fashion addicts infidèles, il s’est fait connaître en tant que styliste, puis en 2003, il s’est lancé dans la création d’accessoires.
Billy, le numéro un de nos amours, a connu un vif succès, il est devenu le It bag de toutes les fashionistas.
Les sacs de Jérôme Dreyfuss se veulent intelligents, solides, adaptables, doux et écologiques.
Pour satisfaire les désirs inavoués des femmes il a su rajouter à certains des poches, même un miroir bien placé, et il parle même d’éclairer le fond de nos sacs maintenant.
Superbe pour une willykean qui est constamment en pleine fouille archéologique dans « sa maison à porter », je parle de mon sac bien sûr.
Ses sacs sont pratiquement tous transformables: Franky passe du cabas au sac à main en un clin d’œil, j’adore j’adore !!!
« C’est la praticité qui fait l’esthétisme ». C’est Jérôme qui l’a dit!
Et la qualité des peaux qu’il utilise est primordiale. Jérôme a encore dit : « il faut que son aspect se rapproche plus de la cuisse de ma femme que de celle de ma grand-mère ».
Douce mais pas trop, fine mais pas trop, grasse mais pas trop.
Tout est fait à la main par des artisans triés sur le volet pour leur savoir-faire.
Chaque sac demande en moyenne dix heures de travail et passe entre les mains de six intervenants.
Boris, josé, paul, diego, je continue?
Je vous jure, je sens que je vais être infidèle, mais patience, Il faut que je remplisse ma tirelire…
Mais vous, si vous voulez succomber maintenant, rendez vous au 1 rue Jacob à Saint Germain des Prés.
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