
J’ai une obsession. Vous m’aiderez à guérir ou je me soignerai toute seule. Le problème qui me préoccupe depuis peu, c’est la question des chaussures, les chaussures que les designers créent pour nous. Les chaussures qu’ils présentent au défilé de mode, les chaussures que les mannequins sont forcées de porter au risque d’une entorse à la cheville ou d’être » blacklistée » sur un défilé de créateurs ou de maison de couture.
Un vent de folie a soufflé sur les podiums. On fait défiler des zombies, il paraît que c’est tendance. Et si cela ne vous fait pas peur, on lance des bombes, pour vous fabriquer des pantalons denim destroy.
Mais les chaussures à talons vertigineux, mêmes invisibles, après nous avoir fait frôler la crise cardiaque, nous font rire, avant de nous attrister, pour les top models, pauvres êtres engagées dans une souffrance passive, mais riches en euros et dollars.
Les chaussures m’empêchent de dormir. Les talons m’obssèdent. Il fût un temps où j’ai pris des risques gratuits moi même, pauvre créature sans dollars ni euros.
Mais aujourd’hui, j’observe de loin celles qui bravent utile la chic attitude. Qui portent des talons hauts de 10 ou 12 centimètres, visibles ou invisibles.
Que retenir de cette période d’observation? Devons nous continuer à assouvir le fantasme de nos chers créateurs? Devons nous descendre de nos platformes, sur terre ou sur mocassins?
Avant de me donner la réponse, laissez moi le temps de me faire un plaisir virtuel avec mes Karo’s shoes, mes chaussures marc jacobs, mes sandales Louboutin, mes chaussures sans talons.




Et vous pouvez regarder ce film très instructif. Un test sur un panel de femme de la vraie vie: essayer de marcher sur des chaussures à talons très très haut.
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