Renseignements généreux!

WillykeanMonsieur me reproche de trop souvent avoir recours à ces 6 numéros qui nous aident si gentillement à retrouver des adresses ou des numéros de téléphone. Rien n’y fait. J’ai un téléphone avec GPS comme la plupart de mes concitoyens, mais je suis accros. Pas que de la mode mais aussi des renseignements téléphoniques. Un trou de mémoire, et hop 118 …… si ce n’est pas l’autre.

Bref. Je savais que parfois c’était limite. Mais ce samedi j’ai été confortée dans mes doutes quand à leur capacité et leur désir de vouloir nous aider.

J »ai rendez à argenteuil à 15 h. Je viens de Levallois. Ce n’est donc pas le bout du monde. J’ai le temps d’arriver. C’est sans compter avec la SNCF;  Une annonce vient faire retomber mon enthousiasme.

 » Suite à un incident sur la voie, nous sommes dans l’obligation de supprimer le train de 14 h 30. »

Bon Pas grave. Le suivant ne devrait pas tarder. Mais le suivant est supprimé lui aussi.

Là ce n’est plus drôle du tout. Ce rendez vous est très important. Mais voilà, je ne pouvais torde le cou à personne, surtout pas aux voix qui s’emmêlent parfois les pinceaux sans l’aide de personne. Ma fille est avec moi. C’est Elodie. Celle qui ne veut pas s’asseoir dans la même voiture que maman. Sauf quand je l’accompagne chez l’esthéticienne. Pour les autres voyages, on fait mine de ne pas se connaitre. Vous verrez quand vous aurez des adolescents.

Ce jour là donc, je suis coincée avec Elodie sur le quai à Asnière. Je pianote sur le clavier de mon portable.

Au bout du fils, une drôle de voix m’invite à énoncer ma requête.

« 118…. que désirez vous? »

«  » BOnjour, pourriez vous me communiquer le numéro de téléphone du CIC argenteuil s’ilvous plait? »

« Nous effectuons votre recherche »

Jusque là tout va bien. Là ou ça se corse, c’est lorque la voix revient pour me dire:

« nous en avons trouvé plusieurs. Quel adresse? »

« Je ne  sais plus de mémoire. Citez moi toutes les adresses.  Oui c’est celle là. elle commence à me citer l’adresse. »

« Mais non, je ne recherche que le numéro de téléphone. »

Et soudain, je ne sais quelle mouche l’a piquée, elle a une envie folle  et l »extrême générosité de me donner aussi l’adresse, ainsi que le numéro de téléphone de l’ophtalmo voisin de la banque.

« Non merci. Contentez vous de me donner le numéro de la banque. »

« Mais il y a aussi un medecin à coté. »

« Je n’ai demandé que le numéro de la banque, suis-je obligée de prendre les coordonnées du médecin? »

Et là; c’est trop compliqué pour elle. Alors, elle me  passe son responsable, il est sensé mieux m’aider. Malheureusement, le responsable reprend le même schéma que la dame. Agacée, je leur raccroche au nez. Ma fille près de moi, commence à avoir des soubressauts. Elle se retient de s’esclaffer sur le quai. Elle regarde autour d’elle. La honte, tout les regards convergent dans notre direction.

Excusez moi, mais quand je suis énervée, je suis bonne pour faire l’annonce dans les gares SNCF, sans haut parleur.

« Mais maman, ce n’est pas la peine de crier. »

« Mais si je vais crier, il y a de quoi crier. »

Lorsque je lui donne les détails de notre conversation, elle devient intenable. Le vrai fou rire que j’ai avec ma fille pour une fois. Nous avons rit comme deux idiotes au point de froler la catastrophe.

« Bon écoute, j’essaie avec l’autre numéro. »

J’ai du mal à me contrôler. parce que pour ceux là, je me repète le numéro tout haut, et je pars d’un fou rire parce que leur numéro me ramène toujours à leur pub. Les deux « gars », très pop, avec leur bandeau et leur coiffure. Morte de rire. Je renvoie ma fille plus loin, elle me déconcentre. Sur le quai, nous passons pour deux folles.

BOn silence. La sosnnerie retentit, et j’éclate de rire. Au bout de 3 secondes, je m’excuse, « je voudrais… le nu- méro du CIC. »

Ce n’est pas possible, je n’en peux plus de rire, j’ai mal aux côtes.

Désolée madame. Et soudain. Clac.

Elle a raccroché.

« Elle t’a raccroché au nez? »

« Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh. ça me tue. Ne t’approche pas de moi maman. Je n’en peux plus de rire. Elle t’a raccroché au nez! »

« Oui et elle a raison. Je n’ai pas arrêté de lui rire aux nez! »

Puis je fais une dernière tentative. Je me contrôle tant bien que mal.

Et rebelotte. Mon interlocutrice insiste pour me communiquer le numéro de la banque, plus celui du médecin à côté. Bon je vous passe mon responsable, il saura vous aider.

Je ne laisse pas le temps au responsable de me harceler à nouveau avec le numéro du medecin.

Je pose mes conditions d’emblée.

« Voilà j’ignore pourquoi tout le monde tient à me donner un numéro de medecin. Vous seriez gentil de ne donner que le numéro de la banque que j’ai demandé. Merci de votre compréhension. »

Tout cela dit d’un trait. par peur de m’esclaffer à nouveau.

Il s’est exécuté. j’ai enfin eu mon numéro. Le train n’était toujours pas là et je savais que la banque avait déjà fermé.

Et lorsque le train est enfin arrivé, nous sommes restées ensemble, assises côte à côte. Un seul regard dans la direction l’une de l’autre suffisait pour déclencher le rire. Ce fût une agréable après midi. Malgré mon rendez vous manqué.

Merci les renseignements. Et de grâce pas de zèle. Le numéro d’une banque, ce n’est pas avec supplément.

Contentez vous de renseigner la requête, uniquement la requête.

Coques téléphone MEXX

Accessoires personnalisés

Le téléphone est de nos jours, devenu l’un des objets le plus précieux dans notre quotidien. Les femmes y accordent autant d’importance que leur sac à main et les hommes ne sont pas en reste.

COmbien de fois notre téléphone nous a t il échappé pour finir en pièce détachées sau sol? Plus d’une fois. Pour remédier à ces accidents nous avons un choix variable de coques. Ces accessoires, élégants, futiles mais bien utiles, nous perment de protéger nos téléphones polution et chocs.

Partis de propositions plus classiques, les coques de portables sont aujourd’hui de vrais accessoires de mode.

Mexx a crée pour vous une collection très mode de coques à téléphone.

Les prix sont à la portée de toutes les bourses: coques motifs bois, écossais, villes du monde, et le très chic, métropolitan.

Qui ne serait pas tenté de protéger joliment son portable?

 

Le trio infernal: le portable, willykean et le lave linge

Il n’y a pas que les machines qui débloquent, parfois les humains aussi ont leurs petits « bugs »

C’est mon cas, je ne sais pas pour vous mais de temps en temps Willykean fait des choses comme Troy Phelan, ce personnage dans le roman « Le Testament » de John Grisham qui convoque sa famille, signe son testament avant de sauter dans le vide.

Bon je n’en suis pas encore là et ce ne sera jamais le cas, j’aime trop la vie. C’est juste pour justifier pourquoi je fais des choses abberrantes par moment.

Venons-en aux faits. Vos commentaires étaient pour la plupart très proches de la réponse ou totalement exactes. J’ai un problème avec les machines, avec les téléphones aussi. Ceux ou celles qui ont lu « 40 ans et alors » se souviennent que j’ai lavé à 40 degrés une robe en plastique façon Paco Rabanne avant de la passer au sèche linge. J’ai tout mis sur le compte de l’âge. C’était le lendemain de mon quarantième anniversaire. Je me suis retenue de pleurer (ma robe): c’était ma façon de faire ma crise de la quarantaine.

Bref, là où le lave linge intervient, en association avec le téléphone et willykean, c’est pendant les vacances, il y a deux ans. Nous louons à la dernière minute dans un camping, un mobil home de luxe, très cher. Sans lave linge individuel bien évidemment. Je déteste aller laver mon linge dans les endroits conçus pour ça. Mais quand il faut y aller, il faut y aller. Je prends donc mon sac de linge, mon portable, un roman et mon sac à main. Toujours chargée, j’aime ça.

Sur place, je pose le téléphone sur un lave linge innocuupé le temps de trier le linge. Un tas de noir, un tas de blanc, un tas de rouge…. Je ramasse le premier tas puis je le tasse dans la machine. Savon, adoucissant, le jeton, la programmation puis voilà la première machine qui démarre. Idem pour les deux autres. Je prends mon roman, je me perche sur une table au fond de la pièce et je me plonge dans ma fiction.

La machine tourne, elle tourne, elle lave. Je vais faire un tour. Je rentre au mobil home voir les enfants, je veux téléphoner mais je ne trouve pas le téléphone. J’ai même failli tenir pour responsable mon homme qui fait souvent le nettoyeur. (il me fait même faire des économies malgré moi, et ça vous ne saurez pas aujourd’hui comment). Je suis convaincue qu’il me l’a caché.

Désespérée je retourne à mon linge. A mon retour, j’ouvre le premier hublot. Et qu’est ce que j’entends? Un bruit bizarre, une sorte de bourdonnement. Je regarde autour de moi, je cherche, j’inspecte les lieux; rien. Je commence à sortir mon linge. Le bourdonnement se fait de plus en plus précis. Il vient de ma machine mais quoi?

J’étais loin d’imaginer ce que je m’apprêtais à découvrir. Je range le linge pièce par pière dans mon sac et là, dessous, que vois-je?

Le portable. Mon portable introuvable quelques minutes plus tôt. Le portable fou. Si, le portable continuait de bourdonner et de faire des cercles sur le dessus de la machine. J’ai un peu peur. Peur de cette petite chose qui a perdu les pédales après un séjour forcé de 45 minutes dans un lave linge. Je le ramasse avec un des vêtements. Je vide les autres machines puis je rentre avec mon OVM; je vous laisse interpréter le OVM. Il bourdonne toujours et dès que vous le poser, c’est reparti. Il bourdonne et se déplace en même temps.

Monsieur s’en charge. C’est son métier. Je lui confie mon objet. Il le démonte, le nettoie, fait sécher les miniscules pièces qui font qu’un téléphone normal marche bien. Rien à faire. Mon téléphone, lorsqu’il se mettait à sonner, c’était comme pour le décollage de l’avion qui m’emmenait en Côte d’Ivoire. Et puis si je voulais communiquer avec mes correspondants, il fallait qu’ils s’entrainent au langage OVNI avant.

Alors je l’ai abandonné. Depuis, je sécoue mon linge pour vérifier que le télépnone ne part pas au lavage avec et d’ailleurs je le laisse dans une pièce différente.

Voilà pour le téléphone lavé , rincé, essoré.

Pas plus tard qu’il y a quatre jours, mon vieux lave linge m’abandonne. Monsieur le démonte mais abandonne très vite lui aussi vus les dégâts. Nous décidons de changer de lave linge.  Mais il ne sera pas là avant quatre jours. Nous revenions d’Alsace avec beaucoup de linge sale. De nouveau, petite virée au lavomatic. J’ai oublié comment ça fonctionne, j’y vais en trainant les pieds, une grosse valise bien pleine. Les filles vont faire du shopping et me dépose au lavomatic en promettant de passer me récupérer dans une heure. Tout va bien. Une cliente qui était là m’explique comment faire puis s’en va. Je prépare la première machine, la numéro 15. Je vais à l’autre bout régler le coût du lavage. J’introduis mes jetons comme indiqué. C’est parti. Maintenant il faut ressortir faire la monnaie au bar tabac à côté pour le reste du linge.

Je reviens, je remplis l’autre machine, je fais démarrer. Je viens m’asseoir, ouf! enfin, presque. Je peux lire et me détendre. Une page, deux pages, trois pages, je relève la tête pour vérifier que tout va bien et dévinez quoi?

La machine tournait à vide. mon linge était dans la 15 et j’avais programmé la 14. Je pestais contre moi même. Et au lieu de lire je suis restée assise à regarder tourner une machine sans linge, qui m’a coûté 7 euros. Lorsque ma fille est venue me rechercher, je n’ai pas osé avouer mes déboires. J’ai prétendu que l’autre machine était en panne et qu’elle m’avait « gobé » mes 7 euros.

Que ne ferait on pas pour sauver la face devant ses enfants. Le mensonge était la seule alternative. J’ignore ce que me réserve encore ces machines dans l’avenir, mais nous n’avons pas de vraie affinité.

Et vous, avez vous eu de petits soucis avec vos chères machines. Je les lirais avec grand plaisir. Maintenant je vais prendre l’apéritif avec les petits fours faits par les filles avec l’appareil que je me suis offert à la foire de Paris. Pour le plat principal, c’est ravioli, toujours avec le même appareil. C’est super non? Allez j’oublie mes déboires avec les téléphones et les lave linge.

Bon dimanche

 

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Un kit mains libres

 

J’en avais déjà parlé mais je suis tombée dessus encore ce soir pendant mon surfing ‘sauvage ».

Il fait gris, il pleut, vous êtes accro de fashion, moi aussi, vous êtes aussi accro de mobile phone? Avouez, qui ne l’est pas?

Vous?

Si vous êtes « deszaccrodumobile » alors vous allez adorer: ce kit main libre vu nul part ailleurs.

Accro du Mobile!

Je « fréquente » cette sphère des accros du mobile depuis peu.

C’est un endroit où vous avez la possibilité d’admirer les derniers nés de mobiles. Non seulement vous profitez de news fraiches mais aussi de tout ce qu’un accro de mobile est capable d’inventer….

Je n’ai pas pu résister à ça: le kit main libre inventé par un inconditionnel du mobile

Pour en savoir plus, allez surfer dans le monde merveilleux des zaccrosdumobile.