C’est la fête de l’amitié, de l’amour. Ma lubie du moment c’est écouter en bloucle cette reprise de Tale of VOices, de la chanson SOMEONE lIKE YOU de Adele.
J’adorais déjà eécouter Adele mais chanter par des hommes, avec des tonalités aussi variées et plus envoûtantes les unes que les autres, non.
Ecoutez les et passez une très belle journée de la Saint Valentin.
C’est kitch me direz vous. Mais à l’origine la saint valentin représentait aussi une sincère amitié avant de devenir la célébration des amoureux.
Alors ami(es) blogueurs, ami(es) pour la vie, amusez vous, profitez de ce 14 février!
Ils ne sont plus très jeunes, ils ont la pêche, ils chantent l’amour, les incertitudes, la fidélité…
Nous avons rêvé au son de leurs voix, puis un peu « oubliés ».
Juin 2009, fête de la musique à la défense. Il pleut, l’enthousisame n’est pas très au rendez vous, les enfants demandent à partir. Juste à ce moment là, on annonce le groupe: Cock Robin. Et là. Tout change. Les enfants m’ont traitée de folle. Cela m’était égal.
Sans doutes les jeunes autour de nous aussi. Soudain j’ai eu envie de danser, chanter sous la pluie. Quite à passer pour une « timbrée ». C’est cela, aimer une chanson, une voix, aimer tout court.
Les gouttes d’eau qui tombaient ruisselaient sur moi, sans m’atteindre. J’avais l’impression que le parvis de la defense m’appartenait. Plus rien n’existait autour. L’envie de partir m’avait quittée.
Malheureusement ça n’a duré que le temps d’une chanson. Mais ce soir là je suis rentrée chez moi heureuse d’avoir écouté l’un de mes chanteurs préférés.
The promise you made. Ce tube du groupe Cock Robin, chanté par Peter et Ana LaCazio.
Oui: cette chanson aux paroles si pleines de sens, le questionnement de tous les êtres amoureux.
Tell me you’ll be there in my hour of need
Remember the promise you made
Would you carry me with you to the edge of time.
Would we become one, or divided in two.
Cock Robin, c’est deux voix superbement intemporelles. Je les adore!
Le premier festival de country de Marines. Oui, je suis toujours prête à faire des kilomètres pour assister à un festival country. Celui de Marines étant la première édition, je n’ai pas hésité une seconde.
Un peu déçue quant à la taille de l’événement, mais heureuse d’être là. La sono alternait avec un orchestre. Les passionnés de country étaient présents eux aussi. Sur la scène, jamais fatigués.
Pourtant, le spectacle était ailleurs: là, tout près de moi. Une fillette, infatigable. Qui manquait d’avoir le torticolis, tant elle voulait suivre la chorégraphie des adultes sur la scène.
Même lorsque le rythme est devenu plus soutenu, notre jeune danseuse, future country dancer, ne s’est pas démontée.
Enfin de compte Sandra, tu as raison! Pourquoi m’arrêter à ce que les autres ont dit? Pour se fixer sur le global? Chacun a eu une rencontre différente avec Mickael Jackson; et nous ne vivons pas les choses de la même manière.
Alors, je vais écrire quelques lignes à ce propos.
Ma première rencontre avec Mickael ou Les Jackson Five? date de 1974, année de la première diffusion du dessin animé « les jackson five » inspiré de la vie de leur groupe.
Un petit film divertissant qui animait et comblait nos vies d’adolescents. A cette époque, nous en étions encore à écouter les Otis Reding, Les Ray Charles…. Les Jackson Five ont commencé à intriguer la future groupie de willykean. Je me demandais qui était ce groupe et s’il existait vraiment.
Sous l’influence du Blues à l’époque, nous n’avons commencé à donner sa chance à Mickael Jackson seulement en 1977 avec son titre Don’t stop till you get enough et de sa parodie dont je tairai les paroles ici pour ne point choquer les âmes sensibles.
C’était le boum du disco, Mickael rivalisait avec d’autres grands du disco pour la plupart de type caucasiens.
Mickael Jackson n’a pas voulu s’enfermer dans le carcan de chanteur « black ». Il rêvait d’universalité, d’un monde où l’on parle de musique et non des musiques.
Il avait gagné nos coeurs.
La deuxième rencontre, celle qui a marquée toute une époque, fût la sortie de We are The World.
Avec cette chanson, il avait conquis le monde entier, l’afrique en premier. Pour willykean c’était le summum de l’extase. C’était Mickael Jackon, entouré des plus grands que je connaissais pour la plupart.
Lionel Richie, Stevie Wonder, Paul simon, Tina turner, Diana ross, Al Jarreau, Bob Dylan,Cindy Lauper… pour ne citer que ceux là.
Dès cet instant, je n’ai plus arrêter de suivre Mickael Jackson. De bons et mauvais moments avec lui.
Ecoutez le!
Ecoutez aussi sa chanson Black or white
I took my baby
On a saturday bang
Boy is that girl with you
Yes we’re one and the same
Now I believe in miracles
And a miracle
Has happened tonight
…..
And I told about equality
An it’s true
Either you’re wrong
Or you’re right
But, if
You’re thinkin
About my baby
It dont matter if youre
Black or white
I am tired of this devil
I am tired of this stuff
I am tired of this buisness
Sew when the
Going gets rough
I ain’t scared of
Your brother
I ain’t scared of no sheets
I ain’t scare of nobody
Girl when the
Goin gets mean
Je les avais déjà entendu en 2006. Je les ai revus hier sur NRJ et j’ai promis de vous les faire écouter.
The All-American Rejects. Ils me donnent envie de sauter, de danser, de m’amuser. Des sons très toniques, des clips assez originaux…
The All-American rejects commencèrent leur carrière à la fin des années 1990. Pour le nom, ne cherchez pas trop. Ils ont tout simplement fait un compromis entre The All-Americans proposé par l’un et The Rejects de l’autre. Ce qui a donné ce nom de groupe pas comme les autres.
Au départ personne ne voulait d’eux. Alors ils seront les All American Rejects. C’est une histoire d’amitié qui a permis l’éclosion de passion et de talents complémentaires; Les autres membres du groupe son venus se joindre à eux plus tard.
Malgré un demarrage de rejets au départ, le groupe a fini par signer avec DreamWorks qui relance leur album Swing Swing. Ce qui permet au disque d’envahir les ondes du monde entier.
C’est le succès avec la reconnaissance qu’ils méritent.
Une autre chanson du groupe que j’aime beaucoup aussi.
Au moment où le monde s’éveille tous les jours avec un lexique qui gravite autour de « crash, récession, crise »….la folie créative ne tarit pas d’imagination pour faire rêver les intouchables.
Le mythe Kate Moss ne connais pas la crise. La top Model est aujourd’hui immortalisée. Une statue en or massif intitulée « Siren », sera exposée au British Museum, à Londres. Crée par le britannique Marc Quinn, estimée à 1,9 million d’euros, elle serait la plus grande statue en or massif jamais réalisée depuis l’Egypte ancienne.
Photo, REUTERS
Si nous revenons chez les « communs des mortels », d’une catégorie autre que vous et moi, Il y a moyen de changer de tête, puisque nous changeons d’ère, l’ère des traders hyper riches étant révolue jusqu’à nouvel ordre; ils peuvent tout de même tenter de se refaire une tête chez Orlando Pita, nous aussi, pourquoi pas?
Vous ne connaissez pas? Pas grave, même ceux qui prétendent le connaitre ne jouissent d’aucun privilège particulier. Orlando Pita ne connait pas la crise, ou du moins jusqu’à ce jour, avec le crash j’ignore si les Madonna, Kristen Dunst et Jennifer Connelly font encore se mettent sur liste d’attente, à 800$ pour une coupe de la star des ciseaux.
Pas de panique, la crise nous ouvrira peut être les portes du saint graal. Moins il y aura de stars et de tops au portillon, plus nos chances augmenterons. Sinon, j’irai au foyer sonacotra de clichy pour me faire faire une coupe à 30 euros.
Et ce n’est pas finit! Malgré la crise, vous pouvez faire des écarts avec la lingerie de Janet Jackson, Pleasure Principle, en satin et dentelle, en vente uniquement dans les grands magasins aux Etats-Unis et en Australie, au Japon et en Italie. Patience, notre tour viendra sinon, il y a l’avion, à prix discount pour aller jusqu’à la lingerie de Janet. A défaut, passez en boucle son tube THE PLEASURE PRINCIPLE
Vous n’avez pas accès à toutes ces tentations, qu’à cela ne tienne! Savourez les plaisirs simples avec WHATEVER YOU LIKE de T.I:record qui passe de la 71 ème place à la première place des charts en seulement trois semaines. Continue sur cette lancée T.I, tu es sûr de ne pas connaitre la crise, et nous, nous saurons quoi écouter lorsque nous avons le blues, lorsque le spleen nous gagnera si la crise n’est pas résorbée rapidement.
Cet amour inconditionnel pour Dylan m’a été transmis par mon Cousin Mathieu.
Avant de réussir à me faire aimer cette musique, il en a fallu du temps. La patience paie et si le fond est bon, le feeling suit. Rien ne m’émouvait dans cette musique qui pour moi n’était que plainte, la lyrique de Bob Dylan me semblait au départ empreinte de tristesse de plainte, elle était synonyme pour moi de mauvais garçon comme mon cousin Mathieu.
Il était si imprégné par la musique de Dylan, il respirait Dylan, Je pouvais l’observer par moment, en train de savourer cette musique à laquelle je ne comprenais pas grand chose, les yeux fermés, le visage qui réflétait le bonheur… la jouissance,
Je crois que je refusais d’entendre parce ce que mon intolérance d’esprit obtu de l’époque faisait que j’assimilais cette musique au style de vie de mon cousin, jean pas très frais de mauvais garçon, cigarette au « bec », nonchalance chaloupante au rythme de la musique de son idole Dylan!
La première fois que j’ai daigné me hasarder dans son antre, ce fût un choc. pas de chaise, le dépouillement total, plus de cigarettes qu’autre chose, il m’a invitée à m’installer près de lui, nous nous sommes allongés côte à côte, des heures durant, à écouter la musique, celle de Dylan et là, le déclic, j’ai entendu la musique de Dylan, et j’ai fini par comprendre pourquoi il l’aimait tant.
Depuis, je suis devenue comme lui fan de Dylan. On l’apprecie ou pas mais il ne laisse pas indifférent. Dylan est unique, il est tout, multiple, solitaire, envoutant….